Revue de l'art chrétien . 2. Paliotto de Salerne (XI= siècle), ivoire du musée deCluny (IX= siècle;, portes de bronze de Bénévent et deVérone (fig. 70), tympan de Saint-André de Verceil(XII^ siècle; et de Schwabisch-Gmund. Sur un ivoiredEssen (voir Revue de lArt C/irtùen,&nnée 1905, page 41)la main du Père tient une tiare au-dessus de la tète duCrucifié (X ou XP siècle). 3. Porte de bronze de San Zéno de Vérone. 4. San Isidro de Léon ; mais surtout sur les ivoires etles objets dorfèvrerie ; plat de reliure du musée de Cluny(X siècle), etc. 5. Portes de Saint-Pons, de Saint-Gilles, de San Zénod
Revue de l'art chrétien . 2. Paliotto de Salerne (XI= siècle), ivoire du musée deCluny (IX= siècle;, portes de bronze de Bénévent et deVérone (fig. 70), tympan de Saint-André de Verceil(XII^ siècle; et de Schwabisch-Gmund. Sur un ivoiredEssen (voir Revue de lArt C/irtùen,&nnée 1905, page 41)la main du Père tient une tiare au-dessus de la tète duCrucifié (X ou XP siècle). 3. Porte de bronze de San Zéno de Vérone. 4. San Isidro de Léon ; mais surtout sur les ivoires etles objets dorfèvrerie ; plat de reliure du musée de Cluny(X siècle), etc. 5. Portes de Saint-Pons, de Saint-Gilles, de San Zénode Vérone ; vantaux de San Zéno de Vérone, de Bénévent,de Plock : ambon de la cath. de Pise ; ambon de Parme ;candélabre de Gaète ; ivoires : paliotto de Salerne, platsde reliure du Musée de Cluny et de la bibl. nat. (ms. ). etc. 6. Sur le tympan de San Isidro de Léon (XII* siècle)les pieds sont simplement posés, et non cloués, sur cettetablette. 158 3^c\)ur lie rSrt cljrcticiL. Fig. 67. — Porte principale de léglise Sainte-Anastasie de Vérone. Linteau: Annonciation, Nativité, Adoration des Mages, Jésus monte au Calvaire, Crucifixion, Résurrection. ce Dieu est tout-puissant, quil va ressusciterpour vivre dans tous les siècles (). I. M. Brykczynski {Revue de F Art Chrétien, Vinné^Vjo:^,page 138) signale lextraordinaire représentation de laporte de bronze de Plock, à Nowgorod, où Jésus en croixdétache sa main droite pour la présenter à sa Mcre dansun geste dadieu : cette disposition nous donne à penser Nos imagiers ont interprété tout autre-ment la suprême parole : <( Consummatum quil sagit en réalité dune descente de croix, car le mêmegeste se retrouve sur beaucoup dœuvres byzantines etitaliennes du XII= siècle représentant cette scène (voirplus loin larticle : Déposition de croix). ILà Mit De 3ésus Ct)ngt. 159 est ! » : ils nous ont montré lexcès de la mi-sère, de la souffrance, du délaissement : ce
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