Oeuvres dramatiques de Néricault Destouches . it fans mécouter. Ah î permettez, de grâce,Que je fuive fes pas pour calmer fon courroux, I Q Comédie. 487 SCENE IX. MARIANNE ami, jufte ciel! quel amantî quel épouxI Je navois pu laimer; mais je croyois, fans pouvoir accorder la plus parfaite je métois fîattée au moins, en lépoufànt,De conferver mon rang, &. de fuir le couvent ;Mais je ne vois que SCENE X. MARIANNE, JVIadame vous demande. MARIANNE. Quoi! LISETTE. Je parle afTez haut, je crois, pour quon vous dis ... Vous rêvez ! MA


Oeuvres dramatiques de Néricault Destouches . it fans mécouter. Ah î permettez, de grâce,Que je fuive fes pas pour calmer fon courroux, I Q Comédie. 487 SCENE IX. MARIANNE ami, jufte ciel! quel amantî quel épouxI Je navois pu laimer; mais je croyois, fans pouvoir accorder la plus parfaite je métois fîattée au moins, en lépoufànt,De conferver mon rang, &. de fuir le couvent ;Mais je ne vois que SCENE X. MARIANNE, JVIadame vous demande. MARIANNE. Quoi! LISETTE. Je parle afTez haut, je crois, pour quon vous dis ... Vous rêvez ! MARIANNE. Ah I jen ai bien voeux vont cependant avoir un plein vous wivezDamon, nêtes-vous pas contente! 488 Hélas ! Le Alédifant, MARIANNE. LISETTE. Vous foiipirez! je fuis intelligente;Ce foLipir fjgnifie un tendre fouvenir. , je voudrois un peu tentretenir. le fouhaite aufTi, courez chez votre mère :Quand vous aurez fini, nous parlerons daffaire. Fin du troifihne Ade,. ACTE IV. Comédie» 4-80 ACTE IV. SCENE PREMIERE. LE ANDRE, FRONTIN. ^^ FRONTIN. V^ui, monfieiir, je lai vCi tout comme je vous voi. L E A N D R pèreî L E A N D R E. Tu Tas vu \ FRONTIN. Vous moquez-vous de moi,De me faire vingt fois dire la même chofe î L E A N D R père cfl arrivé î , monfieur, fi je Fofe,Je vous dirai tout franc que vous minterroger fur ce que vous favez ! L E A N D R fuis au defcfpoir. Tome L • Q ^ ^ 49 Q Le Médifant, F R O N T I N. Je n y faurois que faire:Le cas efl vrai pourtant. L E A N D R E. Que ta-t-il dit, mon pèreîF R O N T I des chofes. Dabord il a voulu favoir,Comme vous jugez bien, fi javois pu vous dit que javois pris une peine quon ne vous pouvoit trouver en cette ville. L E A N D R E. Qua-t-il répondu \ F R O N T I N. Rien ; il sefl mis à pleurer. L E A N D R pleurer \ F R O N T I N. Des Aç,\.viL yeux


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