. Le chemin de fer du Congo (Matadi-Stanley-Pool) . paraissent avoir été adéquates aux conditions locales danslesquelles on sest successivement trouvé. Lavancement final quelles ont permis de réaliser nest cepen-dant un maximum, toutes choses égales dailleurs, notammentquant à la nature et à la configuration du terrain, que pour lenombre dhommes dont la Compagnie disposait. Étant donné, en effet, que lon peut arriver à poser 20 à 25 kilo-mètres de voie par mois, il est évidemment possible de sorga-niser de façon que la construction de la plate-forme et des pontsde service et le ballastage marc
. Le chemin de fer du Congo (Matadi-Stanley-Pool) . paraissent avoir été adéquates aux conditions locales danslesquelles on sest successivement trouvé. Lavancement final quelles ont permis de réaliser nest cepen-dant un maximum, toutes choses égales dailleurs, notammentquant à la nature et à la configuration du terrain, que pour lenombre dhommes dont la Compagnie disposait. Étant donné, en effet, que lon peut arriver à poser 20 à 25 kilo-mètres de voie par mois, il est évidemment possible de sorga-niser de façon que la construction de la plate-forme et des pontsde service et le ballastage marchent à cette allure. Mais il faut,pour cela, ne pas être limité par le nombre de surveillants et detravailleurs et pouvoir donner une avance suffisante aux brigadesdimplantation de laxe. La seule difficulté est de faire régulière-ment arriver sur les chantiers, le matériel de voie, les matériaux,les vivres, loutillage; en pratique, cette régularité est souventcompromise par des interruptions de la circulation sur la partie. fi M CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES 77 de ligne non parachevée, par des retards de navigation ou dedébarquement, etc. La voie devant transporter les rails, les traverses et les acces-soires de la pose, la chaux, le ciment, le sable et souvent leaupour les maçonneries, les matériaux des constructions et destabliers métalliques, les vivres, loutillage et les bois pour lavan-cement, il importait de lui faire suivre linfrastructure pas à pas. On ne saurait cependant conseiller de poser la voie sur uneplate-forme non complètement achevée et de terminer ensuiteles terrassements à laide de trains de travaux. Ce système a étéessayé au Congo : il a eu pour résultat dentraver la circulationdes trains et de coûter en réalité, à cause de ces retards, aussicher que si lon avait, du premier coup, mis les tranchées et lesremblais sous profil définitif. Il paraît préférable denvoyer dupersonnel et de porter du matériel Decauvill
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