Traité d'anatomie humaine . rès voisins lun de lautre. Ils nesont séparés en effet que par une lamede substance blanche toujours fort mince. Encore, cette lame nest-elle bien dis-tincte quà la partie antérieure. A leur extrémité postérieure, en effet, les deuxnoyaux arrivent au contact sur la ligne médiane et se trouvent reliés lun àlautre par une commissure transversale (Huguenlx). On peut encore mettre en évidence les no3^aux du toit en pratiquant sur le cer-velet une coupe transversale, passant par le tiers postérieur de la protubé dernière coupe (fig. 409) nous montre, tout dabo
Traité d'anatomie humaine . rès voisins lun de lautre. Ils nesont séparés en effet que par une lamede substance blanche toujours fort mince. Encore, cette lame nest-elle bien dis-tincte quà la partie antérieure. A leur extrémité postérieure, en effet, les deuxnoyaux arrivent au contact sur la ligne médiane et se trouvent reliés lun àlautre par une commissure transversale (Huguenlx). On peut encore mettre en évidence les no3^aux du toit en pratiquant sur le cer-velet une coupe transversale, passant par le tiers postérieur de la protubé dernière coupe (fig. 409) nous montre, tout dabord, que les noyaux du toit,de même que les noyaux dentelés accessoires, sont placés en regard du hile desnoyaux dentelés. Elle nous montre en même temps que le nom de noyau du toitque Stilllxg a donné à ces noyaux, est parfaitement justifié par leur situationau-dessus de la paroi postérieure ou toit du quatrième ventricule : un tout petitintervalle, en effet, les sépare de la membrane é Fig. transversale du cervelet et de la protubé-rance, passant un peu au-dessus du milieudu quatrième ventricule (daprès Kôlliker). 1, corps dentelé. - 2, embolus. — 3, noyaux globuleux.— 4, noyaux du toit. —5, quatrième ventricule. — C, calotteprotubérantielle. — 7, faisceau pjraniidal. — 8, verraissupérieur. 2 Substance blanche. — La substance blanche forme au centre du cervelet unemasse volumineuse, le centre médullaire (lig. 410, 19). Elle renferme, à sa partiemoyenne, les différents noyaux de substance grise que nous venons de décrire et CERVELET 535 laisse échapper, par sa périphérie, de nombreux prolongements, qui se portent, àla manière do rayons divergents, vers la substance grise de Fécorcc. Chacun deces prolongements aboutit à un lo])ulc du cervelet et le pénètre. Là, il fournit unesérie variable de rameaux collateraux, c|ui pénètrent de même dans les lames. Cesprolongements de deuxième ordre se
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