La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . Mon Dieu je vous remercie! ?—Ah!plût-à-Dicu î quil fût mort dans votre ao4 Pays ANE pervertie, giron, innocent encore , & chéri deDieu & des Hommes-! Et il feft-voilcla face de fes deux mains. Un-inflantaprès il a-dità Pierre:: —Aidons à taMère à monter, mon Mes En-fans! mes pauvres Enfansl Oh! lesPetitsenfans de Pierre R*^* , EdmeR^*ne vous tranfmettra pas lhonneur pur& fans tache, comme Pierre le Et il


La paysane pervertie, ou Les dangers de la ville : histoire d'Ursule R**, sur d'Edmond, le paysan, mise-au-jour d'après les véritables lettres des personages ... . Mon Dieu je vous remercie! ?—Ah!plût-à-Dicu î quil fût mort dans votre ao4 Pays ANE pervertie, giron, innocent encore , & chéri deDieu & des Hommes-! Et il feft-voilcla face de fes deux mains. Un-inflantaprès il a-dità Pierre:: —Aidons à taMère à monter, mon Mes En-fans! mes pauvres Enfansl Oh! lesPetitsenfans de Pierre R*^* , EdmeR^*ne vous tranfmettra pas lhonneur pur& fans tache, comme Pierre le Et il a - aidé à monterà fa Femme. Il était-midi* Jai - faitle dîner : c*eftla première-fois que notreBonne-mère na-pas-fait le dîner de fonMari. LeVieillardra-dit, en-dévorantfes larmes* Je me fuis-approchée , & jelui ai-dit fermement : —Si mon Maricft votre Lieutenant, moi, la Mère de vosPetitsenfans, ne puis-je donc pas tenirla place de ma bonne & excellente Mère,que navre la douleur ? -*-Ouî , oui,Fanchon , ma Fille, je rc me trouvepas mal de votre foin ; mais de ce quecette exemplaire Femme ne fait pas, à-. Viri. Partie. 20Ç cause de fa douleur, ce quelle fut rou-^jours glorieuse de faire-, Gn a-dîné.Et comme jôtais le couvert, voila qucft*entré m, loiseau. Il f cft-jeté au coude notre Père, de notre Mère & decous-tous , fans parler. —Je pars.—Où alez-vous, Monfieur ? a-dit notrePè —Auprès de votre Fils : f ef-pèrc ne le quitter, qu en - le laifTanrentre vos bras,... ou plutôt, je ne lequitterai jamais. Adieu. —DigneHomme l digne Ami-! fcft - écriéenotre Mère. Et le digne Homme aîait-monter à-cheval , quand une chaise a-paru à la porte : le Conduéleur cn-a-tiré Urfule, mourante ,. qui eu-venuerévanouir aux pieds de Ces Père &Mère. On IVfait-revenir : mais elleétait en-délire : *•—Mon Frère! récriait-^/^*elle ! mon Frère ! mon pauvre Frère-!... g^^*™ Nb voyez-vous pas fes chaînes Il craîhe fes ch


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