Arsenal de la chirurgie contemporaine : description, mode d'emploi, et appréciation des appareils et instruments en usage pour le diagnostic et le traitement des maladies chirurgicales, l'orthopédie, la prothése, les opérations simples, générales, spéciales et obstétricales . ent polaire pos-térieur, sarticule avec la partie moyenne à laide dune petite charnièrequi permet de louvrir ou de la fermer à la façon dune tabatière. Cettedernière pièce peut recevoir de petites capsules en cuivre R de mêmerayon de courbure quelle, sur lesquelles peuvent être peintes les imagesophthalmoscopiques du fond


Arsenal de la chirurgie contemporaine : description, mode d'emploi, et appréciation des appareils et instruments en usage pour le diagnostic et le traitement des maladies chirurgicales, l'orthopédie, la prothése, les opérations simples, générales, spéciales et obstétricales . ent polaire pos-térieur, sarticule avec la partie moyenne à laide dune petite charnièrequi permet de louvrir ou de la fermer à la façon dune tabatière. Cettedernière pièce peut recevoir de petites capsules en cuivre R de mêmerayon de courbure quelle, sur lesquelles peuvent être peintes les imagesophthalmoscopiques du fond de lœil soit normal, soit pathologique. » Jai fait représenter quelques types. Chacun peut les varier à son gré,et même recueillir les faits intéressants de sa pratique personnelle, en semunissant de capsules préparées et non peintes. » Ces trois parties réunies constituent un globe oculaire complet.« Si la lentille est emmétrope, si la capsule représente létat physiolo-gique, on a à sa disposition un œil artificiel normal, sur lequel on peutsexercer au maniement de lophthalmoscope, absolument comme sur lœilvivant. » Jai fait disposer en arrière de lœil un écratt destiné à renseigner lesdébutants sur la direction de leur é Fig. 874. — Œil artificiel de Mau-rice Perrin. CÉRÉOMÈTRE ET TONOMËTRE. 371 » Chaque appareil est pourvu de trois lentilles de valeur réfringente dif-férente, destinées à reproduire les états dioptriques de lœil humain. Lunedelles a son foyer exactement sur la rétine, quand la virole en cuivre quila supporte est vissée à fond; elle correspond à lœil emmétrope. Il suffitde dévisser la simple virole, autant que possible sans la démonter, pouraugmenter dautant la longueur de laxe antéro-postérieur du globe, etpour obtenir un degré de myopie assez élevé pour être reconnu au réflec-teur. Avec la même lentille, on obtient ainsi à volonté un œil emmétropeou myope. Jai fait grave


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