. Les simulachres & historiees faces de la mort, autant elegamme[n]t pourtraictes, que artificiellement imaginées. fefrayeufès aux mauîuais, âuec le pinceau dePeferipture fèrot icy reprefencees les Mortzdes iuftes-,& iniques, a limitatio de Lucian,qui en fon dialogue dès imaiges dict,Quepour dépeindre vne parfaire beaulté defemme, ne fauk que reuoequer deuant lesyeulx de la mémoire les particulières beaultez dung chafeunmembre féminin cà,8C la\par les excellentz peintres antiquement pourtraicT:es+Semblablement en ce petit tableau feronttracées toutes les belles,& laides Mortz de la Bible,deiql
. Les simulachres & historiees faces de la mort, autant elegamme[n]t pourtraictes, que artificiellement imaginées. fefrayeufès aux mauîuais, âuec le pinceau dePeferipture fèrot icy reprefencees les Mortzdes iuftes-,& iniques, a limitatio de Lucian,qui en fon dialogue dès imaiges dict,Quepour dépeindre vne parfaire beaulté defemme, ne fauk que reuoequer deuant lesyeulx de la mémoire les particulières beaultez dung chafeunmembre féminin cà,8C la\par les excellentz peintres antiquement pourtraicT:es+Semblablement en ce petit tableau feronttracées toutes les belles,& laides Mortz de la Bible,deiqllesles ledirez en pourrôt coprendre hiftoires dignes deitre auxMiterez coiquées,Le tout a la gloire de celluy,qui permet ala Mort dominer fus tous viuâs,ainiî quil luy plaift,& quâ* Figure de la Mort en général* Ource que vraye eft la fèntence deDieu,parla Ge««»*«quelle il dicT: a lhôme,En qlconque heure q vousmangerez dicelluy,ceft a dire du défendu frûicl:,^vous mourrez .11 eft certain que incotinent âpresle péché lhomme meumDone lhomme viuant quafi contk K. DE LA MORT nuellement meurt,felon Càincï Auguftin en la Ci*te de Dieu* Comme ainfi foit,que par ranr darn ayenc vefeu douante»c-;. jc déluge les hommes,iignaument leferipeurc après la deferuprion du temps de leur vie dict,tt il eft mort. Si noz anciens Pères craignoiêt la MortySé dcfïroicnt Ion*GfiKip. gue vie,il neftoitdemerucille. Car îlzne pouuoicnt encorirîpter au Cielme iouir de la diuine vilïon jufqucs a ce, que leSaulueur eft venu,qui ouurit la porte de lebon Loth,admonnefte de lAngc,quil fe iauluaft en la mon*raigne,craigmt y alkr,arfinq par aduciurelemal & y mourut la. Mort des iuftes,dicT: Balaam. Auili \cs mauluais délirent mon ame de là Deuu. 4. lacoit ce que Moyfc ne vouliift obéir au cômandcmêt de Dieu,quivouloit,quil pafiaft le Iourdain,toutesfois onveoic allez que liberallcment il euft plus v
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