. Histoire naturelle des mammifères, avec l'indication de leurs moeurs, et de leurs rapports avec les arts, le commerce et l'agriculture;. Mammals. h i i. \ HuiiSFT r F i) ' K a \ P t i:, 3/1 'le ifivuv1 La Ilot sskttk n'Le. yptk (Pleropus iïggplincus, H, Geoffroy), qui est une des Xan- tharpios de M. Gray, vit ou K^rvpto et on Nubie; elle a 0,55 d'envergure, et a le poil gris brun. Elle a très-probablement fourni le modèle des dessins assez exacts de grosses Ghauve-Souris laissés par les anciens Égyp- tiens , et dont plusieurs sont reproduites dans l'ouvrage de Rosellini (Voi/. pag. 187); la


. Histoire naturelle des mammifères, avec l'indication de leurs moeurs, et de leurs rapports avec les arts, le commerce et l'agriculture;. Mammals. h i i. \ HuiiSFT r F i) ' K a \ P t i:, 3/1 'le ifivuv1 La Ilot sskttk n'Le. yptk (Pleropus iïggplincus, H, Geoffroy), qui est une des Xan- tharpios de M. Gray, vit ou K^rvpto et on Nubie; elle a 0,55 d'envergure, et a le poil gris brun. Elle a très-probablement fourni le modèle des dessins assez exacts de grosses Ghauve-Souris laissés par les anciens Égyp- tiens , et dont plusieurs sont reproduites dans l'ouvrage de Rosellini (Voi/. pag. 187); la petite (jueue qui termine le corps, l'absence presque complète de membranes interfémo- rales que les dessinateurs égyptiens ont eu soin de reproduire, conviennent mieux aux Roussettes d'Egypte qu'à, toute autre Ghei- roptère. Actuellement, les Animaux de cette espèce sont encore assez communs dans les mêmes lieux, et ils se retirent pour dormir dans ios nombreuses mines qui nous sont restées do l'ancienne civilisation égyptienne; on en trouve jusque dans les chambres des pyramides. La Rousskttk hotte \tottk (Pteropns hotlentolus, Erachii et col la ris) est de 1' \ trique, australe; ses caractères diffèrent peu (\o ceux de la précédente. 5. Dire rues autres Poussettes sont également moins grandes que celles que nous droits citées les premières, e( elles sont plus trapues ; leur tète est plus courte que ne Pest en général la leur, et leurs molaires sont au nombre de -*-, c'est-à-dire de quatre paires à la mâchoire su- périeure, et de cinq à l'inférieure; elles diffèrent aussi des premiers groupes par la présence d'une petite queue. Le premier nom générique qu'on leur ait donné est celui de GVNOPTLIÎL (C<j/nopterus, V. Cuvier); elles répondent aussi aux Pachysomes (Pachgsoma. K. GeoflïoO. L'espèce la mieux connue est la Roi sskttk m \ ne. i \ v. r. Pleropus marginalus, K. Geoffroy), appelée aussi Pteropus amplexicaudalus, K. Geoffroy; Pl


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