. Encyclopédie d'histoire naturelle; ou, Traité complet de cette science d'après les travaux des naturalistes les plus éminents de tous les pays et de toutes les époques: Buffon, Daubenton, Lacépède, G. Cuvier, F. Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Latreille, De Jussieu, Brongniart, etc. etc. Natural history. P'ig, 40. â Psopïiodes crepitans. Fig. 41. â Psophodes crepitans- Queue allongée, ètagée. Pieds assez- forts, assez allongés; acrotarses scutellés; paratarses nus (Lessom, d'après Vicors et HonsFiELD. Man. d'Ornithologie, 1828); du reste, les doigts et les ongles comme dans les


. Encyclopédie d'histoire naturelle; ou, Traité complet de cette science d'après les travaux des naturalistes les plus éminents de tous les pays et de toutes les époques: Buffon, Daubenton, Lacépède, G. Cuvier, F. Cuvier, Geoffroy Saint-Hilaire, Latreille, De Jussieu, Brongniart, etc. etc. Natural history. P'ig, 40. â Psopïiodes crepitans. Fig. 41. â Psophodes crepitans- Queue allongée, ètagée. Pieds assez- forts, assez allongés; acrotarses scutellés; paratarses nus (Lessom, d'après Vicors et HonsFiELD. Man. d'Ornithologie, 1828); du reste, les doigts et les ongles comme dans les genres précédents. Deux seules espèces de l'Australie. Nous citerons le l'sophode à gorge noire (Psuplwdcs nigrogu- laris), Gould. MM. Vigors et Horslield, créateurs de ce genre, dont ils avaient observé l'espèce type, que nous décrirons tout à l'heure, le placaieni parmi les Neclariniidés, ])arce que son bec n'est pas échancré à la pointe, et aussi d'après ses habitudes d'Oiseau suspenseur. Lesson, trouvant que, par son port et ses formes, le Psophode ressemblait beaucoup aux Pics-Grièches, et surtout aux Gube-Mouches, le rangea parmi ces derniers, ainsi que l'avait déjà fait Latham. M. Gray, rentrant dans les idées de Vigors et de Ilorsfield, l'a rétabli dans les Méliphagidés, place que nous lui conservons également. M. Gray nous apprend en effet que le Psophode fréquente les (leurs d'eucalyptus, dans lesquelles, comme les autres Méliphagidés, il recherche les Insectes qui lui conviennent. M. Ch. Bonaparte le met, lui, dans les Maluridés, entre les genres et Splienostona. C'est, dit Jules Yerreaux, un Oiseau qui se tient le plus souvent dans le fourré : aussi le voit-on toujours en mouvement, volant d'un buisson à un autre, dans l'épaisseur duquel il se plaît, visitant chaque branche pour y chercher les Insectes qui servent à sa nourriture. Son cri lui a


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