. Encyclopédie, ou, Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers \. espeintres qui sen occupent pour de miférables pèle-rins , on ne peut sempêcher dêtre touché du triftefort du Cavedone , ce célèbre élevé dAnnibal Car-rache, qui après sêtre attiré ladmiration des plusgrands maîtres, éprouva tant de malheurs dans fafamille, que fes rares talens saffoiblirent au pointquil fe vit réduit à peindre des ex-voto pour fubfif-ter, 6i enfin obligé de demander lui-même publique-ment laumône. Article de M. le Chevalitr DE Jau-COURT. EYMET , {Géog. mod.) petite ville du Périgorden France; e


. Encyclopédie, ou, Dictionnaire raisonné des sciences, des arts et des métiers \. espeintres qui sen occupent pour de miférables pèle-rins , on ne peut sempêcher dêtre touché du triftefort du Cavedone , ce célèbre élevé dAnnibal Car-rache, qui après sêtre attiré ladmiration des plusgrands maîtres, éprouva tant de malheurs dans fafamille, que fes rares talens saffoiblirent au pointquil fe vit réduit à peindre des ex-voto pour fubfif-ter, 6i enfin obligé de demander lui-même publique-ment laumône. Article de M. le Chevalitr DE Jau-COURT. EYMET , {Géog. mod.) petite ville du Périgorden France; elle appartient au Sarladois; elle eft 11-tuée fur le Drot. EYNDHOUE, {Géog. mod.) ville du Brabanthollandois, aux Pays-Bas ; elle eft fituée fur la Drom-mel. Long. 23. S. lat. 61. 28. EYNEZ AT, {Géog. mod.) ville de lAuvergne enFrance ; elle eft de la généralité de Riom. EZAGUEN, ( Géog. mod. ) ville de la provincedHabat, au royaume de Fez en Afrique. EZZAL, {Géog. mod.) province dAfrique j elleeft du royaume de Tripoli. e WïWF- f-.,^ S F, 34*. , f. m. (Gramm.) ceft la fixiemelettre de lalphabet latin , Se deceux des autres langues qui fui-vent lordre de cet /eft aufîî la quatrième desconfonnes quon appelle muettes,ceft-à-dire de celles qui ne ren-dent aucun ion par elles-mêmes,c;ui, pour être entendues, ont belbin de quelquesvoyelles , ou au moins de Ye muet, & qui ne font niliquides comme IV, ni fiftlantes comme y, £. Il y aenviron cent ans que la grammaire générale dePort-Royal a propofé aux maîtres qui montrent àlire, de faire prononcer fi plutôt que ejfe, énér. ch. vj. pag. 23 .fec. éd. 1664. Cette pratique ,qui efl la plus naturelle, comme quelques gens dejpritVont remarqué avant nous, dit P. R. id. ibid. eft au-jourdhui la plus fuivie. Voye,^ Consonne. Ces trois letres F, V, & Ph, font au fond la mêmelettre , ceft-à-dire quelles font prononcées par unefituation dorganes qui eft à-peu-près la m


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