. Traité de radiographie médicale et scientifique : cours libre professé a l'écolepratique de la Faculté de Médecine de Paris, deuxième semestre de 1896-1897 . des particules matérielles, ou par larecombinaison des éléments dissociés par le choc; ainsi, aumoment où elles émettent la lumière, la vitesse ne serait pasconsidérable. MM. Thomson, de Cambridge, a fait de récentesexpériences à ce sujet et a trouvé 200 kilomètres parseconde. 156 LES RAYONS CATHODIQUES Les rayons cathodiques peuvent se réfléchir par le verreet le métal dans un tube de Crookes de forme sphé-rique (fig. 65) (M. G.
. Traité de radiographie médicale et scientifique : cours libre professé a l'écolepratique de la Faculté de Médecine de Paris, deuxième semestre de 1896-1897 . des particules matérielles, ou par larecombinaison des éléments dissociés par le choc; ainsi, aumoment où elles émettent la lumière, la vitesse ne serait pasconsidérable. MM. Thomson, de Cambridge, a fait de récentesexpériences à ce sujet et a trouvé 200 kilomètres parseconde. 156 LES RAYONS CATHODIQUES Les rayons cathodiques peuvent se réfléchir par le verreet le métal dans un tube de Crookes de forme sphé-rique (fig. 65) (M. G. Seguy, Académie des Sciences, 20 janvier 1896) ; ils peu-vent transporter descharges électriques, ainsique Ta constaté M. Per-rin : « Une cage de Faraday,placée à lintérieur duntube à vide, contient unefeuille cylindrique de pa-pier détain réunie à un électroscope. La cage elle-même, quisert danode, est à la terre, et son ouverture, très petite, esten regard de la cathode. Lorsque les rayons tombent surlentrée de la cage, lélectroscope se charge né électrique cesse lorsquon dévie les rayons à laide. Fig. 65. — Réflexion des rayonscathodiques.
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