. Revue de l'art chrétien . ut au milieu des quatre saisons personnifiées, 4 Les docteurs de lÉglise comparent souvent Jésus-Christ à Orphée, lapuissance et la suavité de la parole divine aux effets de la lyre de ce der-nier, et les hommes convertis par cette parole, aux animaux et aux pierresque le chantre de Thrace attirait à lui. « Sed, dit saint Clément dAlexan-I drie, non talis est meus cantor (scilicet Christus). In ccelum rursus evocatb eos, qui humi sunl abjecti, Solus quidem ex iis qui unquam fuerunt difficilli-« mas feras, homines mansuefecit. Volucres quidem eos, qui ex ipsissunt le
. Revue de l'art chrétien . ut au milieu des quatre saisons personnifiées, 4 Les docteurs de lÉglise comparent souvent Jésus-Christ à Orphée, lapuissance et la suavité de la parole divine aux effets de la lyre de ce der-nier, et les hommes convertis par cette parole, aux animaux et aux pierresque le chantre de Thrace attirait à lui. « Sed, dit saint Clément dAlexan-I drie, non talis est meus cantor (scilicet Christus). In ccelum rursus evocatb eos, qui humi sunl abjecti, Solus quidem ex iis qui unquam fuerunt difficilli-« mas feras, homines mansuefecit. Volucres quidem eos, qui ex ipsissunt le-« ves: serpentes vero, eos qui deceptores, et leones eos qui sunt rapaces.« Lapides autem, et ligna sunt insipientes. Prœterea autem lapidibus quoque est insensibilior homo, qui est cinctus ignorantia. » (S, Clem. Alex., Aà-hort. ad gent.). DE LA DÉM0NOL0G1E MONUMENTALE. 473 et portant une chèvre sur ses épaules . La môme image seretrouve dans les poésies de Tibulle et dans celles du poèteCalpionius Pasteur â un bélier •
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