Traité d'anatomie comparée des animaux domestiques . -; Ouvertures extérieu-res du nez. 11. Os carré, lô. Os jugal. — H. Sternum. 14. liré-< het. 13. Apupliyse épi-slernale. l(j. Apophyselatérale interne. 17. Apo -physe latérale externe. 18. Membrane qui bou-che lechancrure interne. 19. Membrane de lé-chanciure externe. —/, etc. Côtessiipérieures. 20. Apophyse postérieurede la cinquième. —J. Côtes injérieures. ~K. Omoplate. — L. Oscuracoidien.—M. Four-chette. m,m. Ses deuxbrandies. — N. Hume-rus. — O. Cubitus. —o. Radius. — P,P. Osdu carpe. — Q,Q? Os dumétacarpe
Traité d'anatomie comparée des animaux domestiques . -; Ouvertures extérieu-res du nez. 11. Os carré, lô. Os jugal. — H. Sternum. 14. liré-< het. 13. Apupliyse épi-slernale. l(j. Apophyselatérale interne. 17. Apo -physe latérale externe. 18. Membrane qui bou-che lechancrure interne. 19. Membrane de lé-chanciure externe. —/, etc. Côtessiipérieures. 20. Apophyse postérieurede la cinquième. —J. Côtes injérieures. ~K. Omoplate. — L. Oscuracoidien.—M. Four-chette. m,m. Ses deuxbrandies. — N. Hume-rus. — O. Cubitus. —o. Radius. — P,P. Osdu carpe. — Q,Q? Os dumétacarpe. — R. Pre-mière phalange dugrnuddoigt de laile, r. Secondephalange du même. —/?. Phalange du/;o((Cr.—S. Ilium. — S. ïschium. — S. Pubis. 21. Truusciatique. 22. Ouvertureovalaire. — T. Fémur.—U. Rotule. — V. Tibia. — X. Péroné. — y. Osunique du tarse. —y. Métatarse. 23. Apo-physe supérieure repré-sentant un métatarsienfoudé. 24. Apophyse quisupporte lergot. —/?, etc., cale représente, chez loiseau comme chez le mammifère, une espèce de balancier 108 DES OS. contourné on S, qui supporte la lèto ol fait varier, par ses changements de formeet de direction, la situation du centre de gravité. Que loiseau sélève dans les airset sabandonne à lélan dun vol rapide, on le verra allonger le cou et étendre latête pour porter le centre de gravité en avant. Quil vienne se reposer sur le sol,il forcera alors linflexion naturelle et plus ou moins gracieuse de son balanciercervical, pour renverser la tête en arrière, et reporter la plus grande partie du poidsdu corps sur les colonnes de soutien formées par les membres posté déplacements du centre de gravité sexécutent chez loiseau sur uneéchelle plus étendue que chez le mammifère ; aussi voit-on la tige cervicaledu premier offrir plus de longueur, plus de légèreté, et jouir dune mobilitéexcessive. Les vertèbres qui la composent
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