. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. A^ m I Fig. 373 à 375. — Passage de la racine à la tige dans Mirabilis jalapa. — I, cylindre central de la racine ; a, endoderme ; b, péricycle ; c. f, faisceaux ligneux ; d, faisceaux libériens. — II, niveau plus élevé ; subdivision quatre faisceaux ligneux en }'. — IH. raccordeaicnt des moitiés, deux par deux, en face des quatre faisceaux libériens, ce qui donne ijuatrc faisceaux libérolig
. Anatomie et physiologie végétales à l'usage des étudiants en sciences naturelles des universités, des élèves à l'Institut agronomique, des écoles d'agriculture, etc. Plant anatomy; Plant physiology. A^ m I Fig. 373 à 375. — Passage de la racine à la tige dans Mirabilis jalapa. — I, cylindre central de la racine ; a, endoderme ; b, péricycle ; c. f, faisceaux ligneux ; d, faisceaux libériens. — II, niveau plus élevé ; subdivision quatre faisceaux ligneux en }'. — IH. raccordeaicnt des moitiés, deux par deux, en face des quatre faisceaux libériens, ce qui donne ijuatrc faisceaux libéroligneux (dg), qui vont aux cotylédons. Seuls, les fascicules ligneux c, f (trachées) continuent leur marche et se perdent dans la tigcUe (Gérard). caulinaire (fig. 370, / et 368, cd), ce qui donne un faisceau libéroligneux ; les vaisseaux étroits du faisceau ligneux en occcupent le bord interne, et non plus le bord péricyclique comme dans la racine. On voit que, dans ce mode, le nombre des faisceaux libéroligneux de la tige reste le même que celui des faisceaux ligneux ou libériens de la racine (fig. 373). 2° Le plus ordinairement, le dédoublement s'effectue non seulement sur les faisceaux ligneux, mais encore sur les faisceaux libériens (fig. 368, II, et 371), ce qui rend très confuse la structure du collet. Dans ce cas, chaque moitié ligneuse (fig. 371, a,b), une fois retournée de 180 degrés, s'associe à une moitié id) d'un faisceau libérien voisin, qui se déplace simplement sur le coté pour aller à sa rencontre (fig. 372, g), et la tige renferme de ce fait deux fois autant de faisceaux libéroligneux (fig. 368, II, cd) que la racine contient de faisceaux ligneux ou libériens (Haricot). Les faisceaux libéroligneux, une fois constitués dans l'hypocotyle, pénètrent dans les cotylédons, parfois en partie seulement (lig. 373, III), puis se reconstituent dans la tige épicotylée. Faisceaux surnuméraires. — 11 n'est pas rare qu
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