. Le General Dourakine; . RAL. Certainement, cest parce quils ont peur. DÃRIGNY. Us comprendraient aussi bien les bonnes pa- LE GÃNÃRAL DOURAKINE. 13 rôles et les bons traitements, et ils aimeraienleur maître comme je vous aime, mon général. LE GÃNÃRAL. Mon bon Dérigny, vous êtes si différent de cesRusses grossiers. DÃRIGNY. A lapparence, mon général, mais pas au fond. LE GÃNÃRAL. Cest possible! nous en reparlerons plus tard; à présent, partons. Appelez Hélène et les enfants. Tout était prêt : le courrier venait de partirpour commander les chevaux au prochain prit s


. Le General Dourakine; . RAL. Certainement, cest parce quils ont peur. DÃRIGNY. Us comprendraient aussi bien les bonnes pa- LE GÃNÃRAL DOURAKINE. 13 rôles et les bons traitements, et ils aimeraienleur maître comme je vous aime, mon général. LE GÃNÃRAL. Mon bon Dérigny, vous êtes si différent de cesRusses grossiers. DÃRIGNY. A lapparence, mon général, mais pas au fond. LE GÃNÃRAL. Cest possible! nous en reparlerons plus tard; à présent, partons. Appelez Hélène et les enfants. Tout était prêt : le courrier venait de partirpour commander les chevaux au prochain prit sa place dans la berline; le tempsétait magnifique, le général était de bonne humeur,mais pensif. Ce que lui avait dit Dérigny lui re-venait à la mémoire, et son bon cÅur lui faisaitentrevoir la vérité. Il se proposa den causer à fond avec lui quand il serait établi à Gromiline,et il chassa les pensées qui lennuyaient, avecdeux tranches de jambon, une aile de volaille e*une demi-bouteille de


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