. Mires de la Soci impale des sciences naturelles de Cherbourg. istances. Nous étions mouillés depuis plusieursjours à Uitoë, à 7 ou 8 lieues dans le Fort-de-France,ayant débarqué là une colonne expéditionnaire destinée à opérerdans lintérieur. Le vent était continuel ou E. ,grande brise. Le 6 février 1861, au coucher du soleil, le temp&se chargea dans lEst de petits nuages pommelés, avec des tein-tes métalliques de mauvais augure. (Barr. O,7oo). Presquetout la nuit, nous essuyâmes un très fort coup de ventavecunepluie torrentielle ; je mattendais à chaque instant à voir nos
. Mires de la Soci impale des sciences naturelles de Cherbourg. istances. Nous étions mouillés depuis plusieursjours à Uitoë, à 7 ou 8 lieues dans le Fort-de-France,ayant débarqué là une colonne expéditionnaire destinée à opérerdans lintérieur. Le vent était continuel ou E. ,grande brise. Le 6 février 1861, au coucher du soleil, le temp&se chargea dans lEst de petits nuages pommelés, avec des tein-tes métalliques de mauvais augure. (Barr. O,7oo). Presquetout la nuit, nous essuyâmes un très fort coup de ventavecunepluie torrentielle ; je mattendais à chaque instant à voir nosancres chasser. Pendant ce temps, la colonne expéditionnaire,campée à quelques lieues de nous, avait un temps magnifique,un ciel étoile; seulement de notre coté, le ciel était chargé etsillonné déclairs. Pendant quà Uitoë nous avions des vents de et , le transport la Ressource, mouillé dans le grand Port-de-France, à la pointe E. de lîle Nu, avait failli aller à la côteavec du vent dOuest. ^JCH. CÔ M - 7^ /<5 _ /t» I ? M .4< ,,
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