Revue de l'art chrétien . t jeter en ée de nouveau devant Olibrius,la vierge confessa quelle adorait celui quia créé la terre, les mers, le ciel et toutecréature. —Le tyran la menaça, si elle ne luiobéissait, de la faire mettre en pièces. —Elle répliqua quelle ne craignait point demourir pour son Dieu, qui lui-même était I. Des montants tout pareils figurent aux angles du lit dunX11= siècle, figure d,ans le manuscrit n 1194 de la Biblio-thèque nationale. —V. Les Arts sompluaires, r vol. Peintures murales romanes à la eat&cDralc ne Cournai. 447 mort pour elle. Alors elle fut li
Revue de l'art chrétien . t jeter en ée de nouveau devant Olibrius,la vierge confessa quelle adorait celui quia créé la terre, les mers, le ciel et toutecréature. —Le tyran la menaça, si elle ne luiobéissait, de la faire mettre en pièces. —Elle répliqua quelle ne craignait point demourir pour son Dieu, qui lui-même était I. Des montants tout pareils figurent aux angles du lit dunX11= siècle, figure d,ans le manuscrit n 1194 de la Biblio-thèque nationale. —V. Les Arts sompluaires, r vol. Peintures murales romanes à la eat&cDralc ne Cournai. 447 mort pour elle. Alors elle fut livrée auxtourments, son corps fut criblé de blessures,et finalement lhéroïque jeune fille eut latête tranchée, après plusieurs événementsmerveilleux dont nous parlerons plus loin. Le troisième tableau offre le dénouementdu drame: le martyre de sainte est à gauche, assis cette fois sur untabouret garni dune étoffe à fond blanc,dont le décor est formé de croix bleues. recroisetées, inscrites dans des losanges quecernent de doubles filets bruns. Le eouver-neur donne lordre du supplice, que transmetaux bourreaux un officier, vêtu dune tuniquelongue et dun manteau. Nous avons plushaut attiré lattention du lecteur sur le dessinnerveux et relativement savant qui caracté-rise la tête énergique de ce personnage. Adroite on voit un bourreau brandissant le ci-meterre qui vatrancher la tête de Marguerite;unautresbire tient des deux mains les liensde sa prisonnière; la sainte, sur la tête delaquelle sétend la main bénissante de Dieu,est représentée les bras levés au ciel, dépouil-lée de son vêtement ; son corps meurtri estpeint avec un certain réalisme, qui nest pasexempt de prétentions anatomiques. V. PLUS bas est pratiqué dans le mur unearcade aveugle en plein cintre, offrantaux peintures un champ plus étroit,en retraitsur la paroi supérieure. Les deux trianglesdu tympan sont ornés de palmiers (), em- I. Ces pal
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