. Méthode naturelle de guérir : les maladies du corps et les deréglémens de l'esprit qui en dependent . ainfî elles font paffagéres,fugitives & promptes à sexhaler ïmais elles exécuteront les animales avec plus de faci-lité , Se occasionneront un fenci-ment de bien-être beaucoup plus,agréable, en ne faifant éprouve»aux parties de notre corps que lesplus petits frottemens & la moin. » e G v e n i a. 15? .Ire fatigue ou le plus léger travail :•in fi Ta me exercera avec aîfanceK liberté Tes opérations raifonna-)les & intelle&uelles ; & la natu--e , livrée ou rendue à Tes propresfacultés
. Méthode naturelle de guérir : les maladies du corps et les deréglémens de l'esprit qui en dependent . ainfî elles font paffagéres,fugitives & promptes à sexhaler ïmais elles exécuteront les animales avec plus de faci-lité , Se occasionneront un fenci-ment de bien-être beaucoup plus,agréable, en ne faifant éprouve»aux parties de notre corps que lesplus petits frottemens & la moin. » e G v e n i a. 15? .Ire fatigue ou le plus léger travail :•in fi Ta me exercera avec aîfanceK liberté Tes opérations raifonna-)les & intelle&uelles ; & la natu--e , livrée ou rendue à Tes propresfacultés originelles, oppofera unobftacle aux maladies, ou en pro-curera la guérifon > & par cemoyen, lhomme fe trouvera en!état de jouir dune vie trè l}6 Méthode naturelle SECONDE PARTIE* Moyens & Méthode de confetvver la vie, & dentretenir lecorps dans un état perpétuelde férénité. V CHAPITRE PREMIER. Réflexions générales fur la nature y\l* efficacité & la nècejjitè de laitempérance 3 ou de la fobriètèdans la cure des Maladies chro-niques. I I JE ne fçaîs pas combien la diffé-rence de Religion & de PaysNpeut influer fur la façon de penferrpar rapport au manger & au boire* »mais je fuis convaincu que chez?-nous autres Proteftans Anglois,qui i tous piquons de penfer pour nous,ans nous modeler fur qui que cebit} je fuis convaincu, dis-je, que)armi nous, la fobriété & la mo-dération , au moins dans le man~ger, font fi éloignées de paflerpour des vertus &: leurs contrai-res pour des vices , que de ne£as manger ce quil y a de pluscher, de plus délicieux, de plus(acculent, eft, ce femble, la feulemaladie connue parmi nous , Sele feul vice contre lequel nos•parens, nos alliés, nos
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