. L'illustration : journal universel . olii)uesdes arts qui doivent être suc-cessivement révélés à lhuma-nité, et a conçu la scène avecune simplicitéquirappellecelledes maîtres piimitiis, maisqui, malheureusement, ne rap-pelle pas leur sentiment naï corps allongé de Jacob aune roideur contraire à létatd un homme endormi, cestune statue dont le modelé esteffacé. On est en droit datten-dre mieux que cela d(^ M. Zie-gler —M. LAEMLEIN a peintcette Vîston de Jacuh dans detrès-grandes proportions. Il seIapproche un peu plus de laGenèse. Seulement, compre-niiit très-bien que, sil niellaitDieu au


. L'illustration : journal universel . olii)uesdes arts qui doivent être suc-cessivement révélés à lhuma-nité, et a conçu la scène avecune simplicitéquirappellecelledes maîtres piimitiis, maisqui, malheureusement, ne rap-pelle pas leur sentiment naï corps allongé de Jacob aune roideur contraire à létatd un homme endormi, cestune statue dont le modelé esteffacé. On est en droit datten-dre mieux que cela d(^ M. Zie-gler —M. LAEMLEIN a peintcette Vîston de Jacuh dans detrès-grandes proportions. Il seIapproche un peu plus de laGenèse. Seulement, compre-niiit très-bien que, sil niellaitDieu au haut de léclielle,louchantpar un bout la terreetpar lautre le ciel, le Seigneura cette hauteur-là ne feraitpas grande figure, il a pris lepirti de le mettre au bas, par-lant à Jacob endormi, mais quiva se réveiller, car il étendles bras par un geste y a dans ce tabic-iu deschoses très-inégales. Ceilainsanges à droite, ayant des per-ruques rousses ébounffées,sohtd un effet malheureux ; à gau-. Saloa de 1847. — Le Muiéc do Dijoo. salie des tombeaux dui ducs do Dûu ■ M. MalUU elle, an contraire, quelques-uns sont dessinés avec élégance,et appartiennent à un stylo élevé. M. EDDUAHl) (illUltDKT : Un. lion (.;■<«■, charmante petitecomposition, pleine de vérité. Nous aurons loccasion do repar-ler de M. Girardet nu iiniis occupani des p inl nes degeiiru. M. MATHIEU : Une Sitlle du Mwsée de Dijon. CeUe , la seule (|ui reste de lancien palais ducal, ronferino, outreplusieurs tableaux des écoles llamande, italienne et française,le tonilieaii de lhilipiie le Hardi, et celui de Jean Sans-Peuret de .Marguerite de Bavière, sa femme. Ces tombeaux furentmis en pièces en I7J3, par suite do la délibération du général do la commune; mais les fragments en furentconservés, et, après neuf années de travaux consacrés h leur restauration, pour laquelle le déparlement de la Côlc-dOravait voté 2.^j,000 fr.,


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