. Sémiologie et diagnostic des maladies des animaux domestiques. Saint-Cyr).A, respiration silencieuse. — B, respiration faible. — C, respiration forie. quatrième jusquà la septième ou huitième côte environ,espace où lon peut même percevoir quelquefois, chez cer-tains sujets, surtout quand la respiration a été accéléréepar lexercice, un très léger bruit dexpiration. Il diminuede force à mesure quon se porte en arrière, et cesse de sefaire entendre, à droite, au niveau de la quatorzième côte,à gauche, au niveau de la quinzième à peu près. Au-dessous delà veine de léperon, ce bruit saffaiblit ra


. Sémiologie et diagnostic des maladies des animaux domestiques. Saint-Cyr).A, respiration silencieuse. — B, respiration faible. — C, respiration forie. quatrième jusquà la septième ou huitième côte environ,espace où lon peut même percevoir quelquefois, chez cer-tains sujets, surtout quand la respiration a été accéléréepar lexercice, un très léger bruit dexpiration. Il diminuede force à mesure quon se porte en arrière, et cesse de sefaire entendre, à droite, au niveau de la quatorzième côte,à gauche, au niveau de la quinzième à peu près. Au-dessous delà veine de léperon, ce bruit saffaiblit rapi-dement à mesure que Ton descend et quon se porte en 252 SEMIOLOGIE DE L APPAREIL RESPIRATOIRE. arrière; il disparaîtcomplélemeni, en lias, au niveau desmuscles pectoraux, et, en arrière, un peu en avant et au-dessus du cercle cartilagineux des côles, cest-à-dire surla limite delà région sternale. « Enfin, du côté gauche de la poitrine (fig. 3o), à la pa--tie antérieure et moyenne de cette zone inférieure, etdai s. 4Fig. 33. — Respiration du cheval (daprès Sainl-Cyr). A, respiration ), bruits du cœur . B, respiration faible. — C, respiration forte. — ?un espace large à peu près trois fois comme la paume dela main, correspondant quatrième, cinquième,?sixième et septième côtes, loreille perçoit très nettement,outre lebruitrespiratoire, dailleurs fortaffaibli, un doublebruit très différent par son timbre, très régulièrementrythmé, dont on peut donner une idée par les syllabestic tac répétées à intervalles égaux : ce sont les bruits ducœur qui obscurcissent un peu le murmure de la respira- POITRINE. 233 tion, mais ne rempècheiit pas dètre perçu. .\vec un peudhabitude, on parvient aisément, non seulement à distin-{;uer ces deux bruits, mais encore à les isoler, à faireabstraction de lun deux de manière à ce que celui surlequel on concentre exclusivement son attention — soitle bruit re


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