. L'illustration : journal universel . ant. » Voilà ce que ditla petite folle, et alors on nycomprend plus rien ; mais lepère fait si bien, avec savieille expérience, et lamantavec sa passion pleine dimpa-tience, que lhymen reprendcelte belle proie prête à luiéchapper. Ceci nous représente,ou peu sen faut, Un vœu dejeune fille. — Le Chirurgienniojor (cest lautre vaudeville),nest pas si mijaurée; cest unbrave qui ne vous tient paslongtemps la dragée haute ; iljure, il crie, il fume sa pipe enplein salon ; le digne hommene demande que plaie etbnsse ;(juelle mauvaise tête! mais1 excellent cœur !
. L'illustration : journal universel . ant. » Voilà ce que ditla petite folle, et alors on nycomprend plus rien ; mais lepère fait si bien, avec savieille expérience, et lamantavec sa passion pleine dimpa-tience, que lhymen reprendcelte belle proie prête à luiéchapper. Ceci nous représente,ou peu sen faut, Un vœu dejeune fille. — Le Chirurgienniojor (cest lautre vaudeville),nest pas si mijaurée; cest unbrave qui ne vous tient paslongtemps la dragée haute ; iljure, il crie, il fume sa pipe enplein salon ; le digne hommene demande que plaie etbnsse ;(juelle mauvaise tête! mais1 excellent cœur ! Voici un hé-ritage décent mille écus quisort de sa trousse, et il marieCharles et Henriette. Lévéne-ment sest passé sous la res-tauration, le major appartenaità larmée de la Loire, et ila mystifié un Anglais, quisappelle lord Pembrock ,comme tous les Anglais. Ona beaucoup apphudi Bar-dou. Le Ranelagh a aussi sonthéâtre, qui mérite dêtre signa-lé à lattention des amateurs.«Celle salle, disait un assistant. Fi-lt donnée dans le [ arc de Vinceones. — La stilc BSs»sSsSsasiïDiSSË;^sn:^ésss^^ près des croisées quf sontt^cé^r^u^r^rtSe rS^e^^^^^ l^^^-1^\^^ noce dans le jardin, a ë^o ai^^^! •c ue id I SOI a ma droite, taudis quej entendais chantera ma gauche. 234 LiLLUSriVAliON, JOlllNAL UNlVlilVSEL. A huit ^ on allumi les quatre quinquets [le la rainpe ^sde : le^ prirent le co-nneiçi loaverture, qui fut exécutée par qualreiiistru-menti kcorJesetpar une llùe. M,.n un„arl«l,te à (léiîlarer quil y avait au-i un cor, qui girda le s -lence pendant toute lapiè.e. » Nuire veut qu anotre tour nous déclarions que ce Pf-■^,,;■tre du liann-lagli ne e pas plus au tiieâlH^ d a quun vieillard à un jeune liorame. U sal e a éie em-bellie, loroliestre ne le ceje pas en nombre et en talent iceux des scènes sewnd lires de la capitale, la troupe es
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