Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service . ^en va, SCENE I I LVN MEDECIN, ARLE^IN. LE MEDECIN. Oui, je ne fai ce que je ne donneroispoint pour pouvoir me rendre incon-nu aux gens qui le plaignent que je les aifait dcfcendre ici-bas vingt-ans plutôt quilsny fuifent venus. lecroi bien. LE ne puis-je trouver un endroit propreà me cacher , tant que dureront les fêtesque Pluton donne à fa maitrelfe! Les champs Elifeet. ^ij ARLEQUI


Le Théâtre italien de Gherardi, ou, Le Recueil général de toutes les comédies & scènes françaises jouées par les comédiens italiens du roi, pendant tout le temps qu'ils ont été au service . ^en va, SCENE I I LVN MEDECIN, ARLE^IN. LE MEDECIN. Oui, je ne fai ce que je ne donneroispoint pour pouvoir me rendre incon-nu aux gens qui le plaignent que je les aifait dcfcendre ici-bas vingt-ans plutôt quilsny fuifent venus. lecroi bien. LE ne puis-je trouver un endroit propreà me cacher , tant que dureront les fêtesque Pluton donne à fa maitrelfe! Les champs Elifeet. ^ij me voyez dans le mçme embarrai^que vous. LE ? ême: il ny a rien que je nefîfîc ,pour me dérober à la rencontre dun nom-bre infini dindifcrets , qui viennent mac-cufer, lun davoir enfoncé fon coffre y lau-tre de lavoir aflaffiné , & de mille autrespetites mievretés de Mais at-tendez , feriez-vous homme à me féconderdans une entreprife hardie î Etes-vous hom-me à tout rifquer.^ LE MEDECIN. Belle demande l Vous ne fongez doncpas que je fuis médecin f ny a point à hefiter , il nous faut pren-dre la ^1^ Les champs Elïfees. SCENE IV. CARON, LE ^IN, C A R O N cMhL Oui da? oh , je vous en empêcheraibien. LE fuite ? Et cette barque , &: ce paiTagéqui font gardez par Cerbère , ne comptez-vous cela pour rien ? pour grandchofe. Lailïez-moi faire ,J*ai une invention pour affranchir le maraisfans barque , & hors même de la vue deCerbère. LE ? Mais de quoi vivrons-nous là-haut fAyant en mourant difpofe de nos effets ,nous trouverons immanquablement nos hé-ritiers en poflelîîon de nos la vérité , ceci mérite quelque refle-xion. Attendez , jai trouvé votre arrivant à Paris, je vous réponds de cin-quante mille écus à votre M favoir fur quoi vous fondez de fijbelles efperances i Les c


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