. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... des tra-vaux merveilleux. Comme lont montré D.\r\vin etDccHE-NNE DE BoLLOGNE, la physio-nomie résulte, dune part, de lhar-monie ou des dispositions morpho-logiques des traits du visage et delaction du système nerveux sur la circulation; etdautre part de lassociation des habitudes utiles et<le lantithèse. Le visage humain, cest le premier objet sur lequelse fixent les yeux de lenfant. Au cours de la vie, ilnest pas de jour peut-être ou il ne nous otfre sonénigme. Que disent ces yeux? Que se passe-t-il der-rière ce front? Pourq
. Encyclopédie de la musique et dictionnaire du Conservatoire ... des tra-vaux merveilleux. Comme lont montré D.\r\vin etDccHE-NNE DE BoLLOGNE, la physio-nomie résulte, dune part, de lhar-monie ou des dispositions morpho-logiques des traits du visage et delaction du système nerveux sur la circulation; etdautre part de lassociation des habitudes utiles et<le lantithèse. Le visage humain, cest le premier objet sur lequelse fixent les yeux de lenfant. Au cours de la vie, ilnest pas de jour peut-être ou il ne nous otfre sonénigme. Que disent ces yeux? Que se passe-t-il der-rière ce front? Pourquoi cette contraction des lè-vres? Le médecin se double nécessairement dun psycho-logue; son premier acte devant un malade ou un visiteur est de se rendre compte de son visage. Sou-vent il en tire les éléments les plus précieux : unecoloiution subite du visage, un tromblomentdes pau-pières au début de linterrogatoire seront pour luicomme un thermomètre onregislraut les degrés delémotivité.Quant au teint, il est comme le reflet de la santé :. FiG. 49. — Etude de la physionomie dans la parole. — Analyse physiolo-gique de la physionomie el du visage animes par la parole. — Risorius deSanlorini, considéré comme une dépendance du peaucier, dans les fibres supé-rieures de celui-ci, mais représentant cependant un muscle dislincl du , peaucier; L, muscle slerno-cloido-mastoïdien. teint des anémiques, pâle, diaphane; teintdes chlo-rotiques, tirant sur livoire, etc. La vue, le regard. — On sait quil y a les hyper-métropes qui voient de loin et les myopes qui voientde près. Les hypermétropes ne voient nettement quede loin par suite de laplatissement de la cornée oudu cristallin. Les myopes voient de trop près, parceque les mêmes appareils sont trop convexes. Le nez. — Le nez a des ailes modelées qui palpi-tent à la moindre émotion. 774 ENCYCLOPÉDIE DE LA MVSIQVE ET DICTIONNAIRE DU CONSERVATOIUE Le visage a été richement doté au
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