Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . er leseaux dune mine par laction directe dunechute deau pour mouvoir le piston dun corpsde pompe. On les préfère, pour les épuise-ments des mines, aux roues hydrauliques,quand les chutes ont une grande hauteur, etsurtout quand on est restreint pour la placeque doit occuper le moteur. Les moteurs àgaz reposent sur le principe de la combustiondun gaz par loxygène de lair, combustionqui produit un développement considérablede chaleur, et par suite un accroissement depression et de volume de ces gaz; l
Nouveau dictionnaire encyclopédique universal illustré : répertoire des connaissances humaines . er leseaux dune mine par laction directe dunechute deau pour mouvoir le piston dun corpsde pompe. On les préfère, pour les épuise-ments des mines, aux roues hydrauliques,quand les chutes ont une grande hauteur, etsurtout quand on est restreint pour la placeque doit occuper le moteur. Les moteurs àgaz reposent sur le principe de la combustiondun gaz par loxygène de lair, combustionqui produit un développement considérablede chaleur, et par suite un accroissement depression et de volume de ces gaz; la agit sur un pistou et transmet lemouvement aux oulils que lon veut fairemarcher. On remarqua dans nos expositionsdélectricité le moleur à gaz (système Otto) ;ce moteur a été admis pi-incipalement àSaint-Etienne. On cite aussi le système Lenoirou moteur à gaz à action directe. — On appellemoteur électrique toute machine dans laquelleun électro-aimant (voy. ce mot) produit unmouvement de va-et-vient, au moyen duncourant électrique momentané. Des effets. Machine GrriTiiinc. semblables ont lieu quand laimant restestationiiaire, mais varie en force; parce quelaugmentation dintensité cause un courantdans une direction, et le déerois-iement danslintensité produit un courant dans une di-rection opposée. Lapremièremachineélectro-magnétique fut imaginée par Pixii en 1832;un aimant permanent en fera cheval, tour-nait sur son axe eu lace de deux rouleaux defils de fer enveloppant des morceaux de ferdoux qui étaient placés chacun devant lundes pôles de laimaul tournant. Celui-ci, dansson mouvement, magnétisait alternativementles morceaux de fer et les démagnétisait [)arinduction; et par conséquent les courantsétaient induits dans les fils de fer. Plus tard,on fabriqua des machines dans lesquelles lesaimants restaient stationnaires, tandis queles rouleaux ou armatures, comme on lesappelle, recevaient un mouvement circulaire,et au l
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