L'illustration : journal universel . he Moclej. 1-e me ,lentateur, si bizarrement symboli-é par le grand nezM. Ilvacinthe et son œil de faucon, cest le ftopha de Udameà la mode, le sopha de la comédienne, le sopha de , rien de plus et cest bien assez. Au bout de LaChaise longue du vice et du Divan delà volupté, vous suant a grosses gouttes à la botte de paille, ce s. :de la vertu au village ; alors Mazulim levé son état de le nez de M. Hyacinthe reprend sa forme véritable. Quant aux situations, on les sous-entend, les mots, il fautles entendre et le spectacle, allez y


L'illustration : journal universel . he Moclej. 1-e me ,lentateur, si bizarrement symboli-é par le grand nezM. Ilvacinthe et son œil de faucon, cest le ftopha de Udameà la mode, le sopha de la comédienne, le sopha de , rien de plus et cest bien assez. Au bout de LaChaise longue du vice et du Divan delà volupté, vous suant a grosses gouttes à la botte de paille, ce s. :de la vertu au village ; alors Mazulim levé son état de le nez de M. Hyacinthe reprend sa forme véritable. Quant aux situations, on les sous-entend, les mots, il fautles entendre et le spectacle, allez y voir ; cest une féeriegrotesque ou les murs se meuvent, les meubles se promè-nent et certains tableaux sont on ne peut plus parlants. Ce-pendant quavez-vous fait de loriginal cl de son Scbab-Baam, spirituelle et mordante satire du prince ignorant etplongé dans la mollesse, si profond connaisseur des événe-ments qui ne sont jamais arrivés, vivant au milieu duntroupeau de femmes (le Parc aux Cerfs) entre des singes et. à fait digne du nom quil sest donné ; cest lui queVoltaire voulait dessiner pour Candide ; civt ce liui-tième chilteau du roi de Bohême, dont la iloscriptiondésespérait Nodier. Il est beau, il est vaste, il estfleuri, il est illuminé, il est splendide et il est mo-deste ; car on a toutes les peines du momie à le dé-couvrir dans la relraite quil sest choisie, au lin fonddes Champs-Elysées dont il est la violette. Sous loDirectoire il sintitulait le Jardin des Fées, et leurféerie y est encore. Le charme commence à la grillede lentrée principale, ouvrage du célèbre vient lo mirage des grands arbres touffus, desboulingrins de gazon, des corbeilles do fleurs auxtiges élancées et rayonnantes, des jets deau chan-teurs, et puis les charmilles, les bouquets de feuil-lage , les nefs de verdure ; les seules ombres dureste de cette ombre do chMeau. U est bilti dofleurs, de sons harmonieux et do visions: tout ce 3uil y a (le plus a


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