. Apres La Pluie Le Beau Temps . ction, je payerais lhabitrouge de ma bourse. GENEVIÈVE. Oh! ma cousine, que vous êtes bonne! millefois trop bowne pour moi. Aussi je ne puis vousdire combien je suis reconnaissante des bontés quevous me témoignez. Jamais je noublierai tout ceque je vous dois. Quant à mon oncle, il a raison de APRES LA PLUIE LE BEAU TEMPS 191 trouver que jaurais dû lui demander la permissionde faire une si rrosse dépense avant de la pro-mettre ; jai eu tort, et il veut me le faire sentir. MADEMOISELLE PRIMEROSE. Le reproche quil ta adressé aurait suffi, machère petite ; lhumble


. Apres La Pluie Le Beau Temps . ction, je payerais lhabitrouge de ma bourse. GENEVIÈVE. Oh! ma cousine, que vous êtes bonne! millefois trop bowne pour moi. Aussi je ne puis vousdire combien je suis reconnaissante des bontés quevous me témoignez. Jamais je noublierai tout ceque je vous dois. Quant à mon oncle, il a raison de APRES LA PLUIE LE BEAU TEMPS 191 trouver que jaurais dû lui demander la permissionde faire une si rrosse dépense avant de la pro-mettre ; jai eu tort, et il veut me le faire sentir. MADEMOISELLE PRIMEROSE. Le reproche quil ta adressé aurait suffi, machère petite ; lhumble aveu que tu en as fait avectant de douceur aurait dû le toucher. Et quant àmoi, ne crains pas que cette dépense puisse megêner. Sans avoir une fortune égale à la tienne, àla sienne, jen ai assez pour que quelques cen-taines de francs ne puissent pas me gêner. Ainsirassure-toi et ny pense plus. » Mlle Primerose embrassa Geneviève, qui luirendit dix baisers pour un ; elle reprit bientôt soncalme et ses leç


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