. Superstitions anciennes et modernes : prejugés vulgaires, qui ont induit les peuples à des usages & à des pratiques contraires à la religion . #: II TRAI- fT ^ T R A I T E DES SUPERSTITIONS, QUI REGARDENT LES SACREMENS. SUITE DE LA SECONDE PARTIE. -€%>^€»^m>^€m>^m>^my^m>^m>^^m>^mi> LIVRE HUIT lE ME. Des Superflu ions qui regardent rExtréme-OnHïon. ;EBatême nous ouvre la porte de lavie de la grâce ; mais lExtrême-onftion nous facilite lentrée de lavie de la gloire. Elle sappelle onc-tion , parce quelle fe donne aveclhuile qui a été bénite folemnelle-ment
. Superstitions anciennes et modernes : prejugés vulgaires, qui ont induit les peuples à des usages & à des pratiques contraires à la religion . #: II TRAI- fT ^ T R A I T E DES SUPERSTITIONS, QUI REGARDENT LES SACREMENS. SUITE DE LA SECONDE PARTIE. -€%>^€»^m>^€m>^m>^my^m>^m>^^m>^mi> LIVRE HUIT lE ME. Des Superflu ions qui regardent rExtréme-OnHïon. ;EBatême nous ouvre la porte de lavie de la grâce ; mais lExtrême-onftion nous facilite lentrée de lavie de la gloire. Elle sappelle onc-tion , parce quelle fe donne aveclhuile qui a été bénite folemnelle-ment par lEvêque. Elle sappelleextrême, ceft-à-dire dernière, nonparce quon ne la doit recevoir quà lextrémité, com-me bien des gens simaginent par une erreur & unabus manifefte, mais parce quelle eft efFeélivementla dernière onétion que reçoit le Chrétien à la finde fa vie. Jefus-Chrift a inftitué ce Sacrement pour le fecoursfpirituel & corporel des malades , fuivant la penfée delApôtre faint jaques (a). ,, Sil y a quelque malade„ parmi vous (dit-il) quil fafTe venir les Prêtres de„ lEglife, & quils prient fur lui , loignant dhuile„ au nom du Seigneur: & la prière de la foi fauvera„ le malade, le Seigneur le foulagera, & fes péchés„ lui feront remis . Cela nous marque les troiseffets de lExtrême-onftion. Le I. eft le falut du
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