Revue de l'art chrétien . Palais de Tag-Eivan. Les arguments tirés de la situation excentri-que du donjon comme de sa dimension ne sontpas décisifs. Dans les fortifications bien étudiées,fussent-elles dune antiquité très reculée, on con-state que les ingénieurs militaires plaçaient ledonjon dans le voisinage immédiat de y a en faveur de cette disposition des raisonstechniques nombreuses et excellentes au casprésent. Quant à la dimension de la courtinerépondant au côté du donjon, elle est une fonc-tion de la portée très dangereuse des projectiles I. V. TniVLinx des Soc, Savantes, p
Revue de l'art chrétien . Palais de Tag-Eivan. Les arguments tirés de la situation excentri-que du donjon comme de sa dimension ne sontpas décisifs. Dans les fortifications bien étudiées,fussent-elles dune antiquité très reculée, on con-state que les ingénieurs militaires plaçaient ledonjon dans le voisinage immédiat de y a en faveur de cette disposition des raisonstechniques nombreuses et excellentes au casprésent. Quant à la dimension de la courtinerépondant au côté du donjon, elle est une fonc-tion de la portée très dangereuse des projectiles I. V. TniVLinx des Soc, Savantes, p. 321. de la défense. Elle devait donc peu varier , M. Van Berchem, se rapportant à lopi-nion de M. Quicherat au sujet de la voûte ogivalequi devait supporter la base du phare,la combaten même temps, motif pris que les voûtes arti-culées sont dinvention française et caractéristi-ques de notre architecture ogivale.
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