. L'Abbe Constantin . lny aura » Mais le petit Gibert, lavoué,qui était assis au premier rang et c[ui, jusque-là,navait pas donné signe de vie, se lève et dit tran-quillement : « Jai acquéreur pour les quatre lotsréunis à deux millions deux cent mille francs. » Cefut comme un coup de foudre ! Une grande clameursuivie bientôt. dun grand silence. La salle étaitpleine de fermiers et de cultivateurs des de deux millions ! Tant dargent pour de laterre, cela les jetait dans une sorte de stupeurrespectueuse. Cependant M. Gallard se penche versSandrier, lavoué qui avait porté


. L'Abbe Constantin . lny aura » Mais le petit Gibert, lavoué,qui était assis au premier rang et c[ui, jusque-là,navait pas donné signe de vie, se lève et dit tran-quillement : « Jai acquéreur pour les quatre lotsréunis à deux millions deux cent mille francs. » Cefut comme un coup de foudre ! Une grande clameursuivie bientôt. dun grand silence. La salle étaitpleine de fermiers et de cultivateurs des de deux millions ! Tant dargent pour de laterre, cela les jetait dans une sorte de stupeurrespectueuse. Cependant M. Gallard se penche versSandrier, lavoué qui avait porté ses enchè Lalutte sengage entre Gibert et On arriveà deux millions cinq cent mille Courtmoment dhésitation chez M. Il se dé continue jusquà trois Là, il sarrête etle domaine est adjugé à On se jette sur lui,on lentoure, on lé « Le nom, le nom delacquéreur.^ — Cest une Américaine, répond Gibert,madame Scott. ». LABBE CONSTANTIN 19 — Madame Scott! sécria Paul de Lavardens. — Tu la connais? demanda madame de Lavar-dens. — Si je la connais!... si je Pas du jétais au bal chez elle, il y a six semaines. — Au bal chez elle !... et tu ne la connais pas !...Quelle sorte de femme est-ce donc? — Ravissante, délicieuse, une merveille! — Et il y a un M. Scott? —- Certainement, un grand blond. Il était à On me la montré... Il saluait au hasard, dedroite et de gauche. Il ne samusait guère, je vousen ré Il nous regardait et il avait lair dese dire : « Quest-ce que cest que tous ces gens-là ?...Quest-ce quils viennent faire chez moi?... » Nousvenions voir madame Scott et miss Percival, la sœurde madame Et ça en valait la peine! — Ces Scott, dit madame de Lavardens ensadressant à M. de Larnac, est-ce que vous lesconnaissez ? — Oui, madame, je les M. Scott estun Américain colossalement riche, qui est


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