. Entre camarades; ouvrage . arouche. « Gilquin! Cest vous qui avez coupé ça,... cesoignons? demanda M. Gherbinet dune voix trem-blante de colère. — Oui, monsieur linspecteur. — Misérable! — Jai cru quils étaient au — Des oignons qui valaient cent francs pièce !...mille francs!... qui étaient au-dessus de toute va-leur!... des oignons de jacinthes de Chine, que jemétais fait Ah! monstre! monstre! ^> Il se précipita sur lui, le saisit au Mais, au même instant, Phanor prit de lui-même la défense de son maître et sauta à lagorge de lagresseur. ce A bas, Phanor!


. Entre camarades; ouvrage . arouche. « Gilquin! Cest vous qui avez coupé ça,... cesoignons? demanda M. Gherbinet dune voix trem-blante de colère. — Oui, monsieur linspecteur. — Misérable! — Jai cru quils étaient au — Des oignons qui valaient cent francs pièce !...mille francs!... qui étaient au-dessus de toute va-leur!... des oignons de jacinthes de Chine, que jemétais fait Ah! monstre! monstre! ^> Il se précipita sur lui, le saisit au Mais, au même instant, Phanor prit de lui-même la défense de son maître et sauta à lagorge de lagresseur. ce A bas, Phanor! à bas! Viens, Phanor! » criaaussitôt Gilquin. Le chien ne broncha point. <i Phanor! veux-tu bien venir! o Il fallut que le garde allât lui desserrer lesmâchoires et arracher à ses crocs M. linspecteur. A peine délivré, celui-ci tomba dans une indes-criptible fureur, véritable crise de démence et defrénésie. « Ah! tu veux me faire dévorer par ton chien!Ah! tu lances ton chien sur moi !. Mais, au même instant, riianor prit de lui-même la défense de son maître. M. linspecteur CHERBIXET. 237 — Mais, monsieur, cest lopposé.... — Ah! grediiî! ah! scékTaM canaille! Attends!attends! » Et il courut chercher son fusil. Gilquin neut que le temps de senfuir en appe-lant Phanor et de regagner la ville. M. Cherhinet se rua à sa poursuite; mais deuxsous-officiers de la compagnie de vétérans alorscasernée à la Ville-Haute le rencontrèrent et luiharrèrent le passage. « Laissez! laissez! criait-il. 11 faut que je letue, ce misérable,... que je lextermine! Maisvous ne savez donc pas ce quil a fait?... » Cest à la suite de cet esclandre ({ue M. de Tan-nois estima que la coupe était pleine et quelheure avait sonné de fendre loreille à M. lin-specteur Cherhinet.


Size: 1243px × 2010px
Photo credit: © Reading Room 2020 / Alamy / Afripics
License: Licensed
Model Released: No

Keywords: ., bookcentury1800, bookdecade1890, bookidentrecamarad, bookyear1895