Les Parodies du nouveau theatre italien; ou, Recueil des parodies représentées sur le théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, par les Comediens italiens ordinaires du RoyAvec les airs gravés . n fol dun fage 5Un Tôt dun é Maltotier, PARODIE- JJ7 Le Clerc , le Greffier , Ou dans lopulence, Ou dans lndigencc, Cens de tout métier, De toute humeur, Tout fuît ta Puiuance, Jufquau 2 y 2. pavois cent charme eft vas fans trop de peinePrès de ton inhumaine 3En éprouver léfet;Fuis promptement,Evite la rencontre >De fon autre amant ;Car franchement,Si ton rival fe montr


Les Parodies du nouveau theatre italien; ou, Recueil des parodies représentées sur le théâtre de l'Hôtel de Bourgogne, par les Comediens italiens ordinaires du RoyAvec les airs gravés . n fol dun fage 5Un Tôt dun é Maltotier, PARODIE- JJ7 Le Clerc , le Greffier , Ou dans lopulence, Ou dans lndigencc, Cens de tout métier, De toute humeur, Tout fuît ta Puiuance, Jufquau 2 y 2. pavois cent charme eft vas fans trop de peinePrès de ton inhumaine 3En éprouver léfet;Fuis promptement,Evite la rencontre >De fon autre amant ;Car franchement,Si ton rival fe montreAdieu lenchantement. T EL A M ON. Hc-bien,pendant que vous y étes^faites*en un autre pour quil ne la rencontrepas. Venus, Tais-toi épilogueur éternel. T E L A M O N. Mais je penfe à une chofe .... je veux 358 HESIONE; me faire aimer fans que la magie sen mêle. Venus. En voici bien dun autre ! le beau fcru-pule ! à quoi fervira donc tout ce quenous venons de faire ? T E L A M ON. Air 81. J2jtotque veux lui plaire par moi-même >Tout autre fecours meft fatal. ûte au moins la douceur extrêmeDe faire enrager ton ,Belle confolation !. PARODIE, 359 SCENE XII. Le Tbiâtre change &repréfentc un Port deMer. Anchise. Air 190. Sans devant derrière. Uel Tpedacle en ces triftes lieux,Venus vient offiir à mes yeux !Jai vu ma Maitrelie iimdciie ,Au fieur Telamon qui la^donnoit belle ?Jai vu le traître à Tes genoux >Sans dire anétez-vous. Air fond dun fombre boccagcElle lui tendoît la main ;Et Tsiarncm , dont jenrage ,Tendoît la fienne foudain :Leurs deux mains fe joignirent,Il la lui prit 3Elle la prit,Tous les deux fe la prirent. $5q H E S I O N E Où font-ils? que je les aflomme 3 Hefione *» Air Telamon lui en conte 7Lingrate nentend point ma voix,Vainement je lappelle,Et lorfque je fuis aux abois3La Chienne, la Cruelle,Elle eft avec lui dans ce bois :Ah ! quy fait-elle ?Air 182. La marché à


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