. De l'origine des bovrgongnons, et antiqvité des estats de Bovrgongne, devx livres : plus, des antiquitez d'Autun, liure 1 : de Chalon, 2 : de Mascon, 3 : de l'abbaye & ville de Tournus, 1. auoir Homoti-c\ ? r \\ cl ? r 1 mcsPerfâs. , eite ainli nommez, pource quils eftoient elgaux en non- xenopho, ncurs)auoient quelque choie, que nous pourrions iugerfemblableàlinftitutiondes anciens Cheualiers de lor-dre. Et neftinconuenient quen diuers lieux chofes fé-blables ayent efté obferuees: ny que diuers pais fansauoir rienprins,ny apprins les vnsdes autres ayent pratiqué mefmes façons de
. De l'origine des bovrgongnons, et antiqvité des estats de Bovrgongne, devx livres : plus, des antiquitez d'Autun, liure 1 : de Chalon, 2 : de Mascon, 3 : de l'abbaye & ville de Tournus, 1. auoir Homoti-c\ ? r \\ cl ? r 1 mcsPerfâs. , eite ainli nommez, pource quils eftoient elgaux en non- xenopho, ncurs)auoient quelque choie, que nous pourrions iugerfemblableàlinftitutiondes anciens Cheualiers de lor-dre. Et neftinconuenient quen diuers lieux chofes fé-blables ayent efté obferuees: ny que diuers pais fansauoir rienprins,ny apprins les vnsdes autres ayent pratiqué mefmes façons de eft efmerueillable, quà pareilles fins , ayent efté dreffees Co- Sociétécietez de gens de guerre , lefquclles foubs certains ferments , ôc arraeï*cérémonies particulières, quelques Princes ont obligé ôc lié à leurferuice plus expreffement que le reftede leurs autres fubierfts. Maislans peregriner iufques en Perfe, pour y chercher linftitution , ôc1» moule , fur lequel ont efté formez ces ordres de Cheualcriesdont il {agit, nous auons ie ne diray à noftre porte, mais dedans les li-mites, & enclauemés du Royaume de France,où nous pouuons trouucr N iij. i|Q t De lantiquité & origine plus fignalees marques de telles focietez , quen autre lieu quon nommer. Athenœus rapporte que Nicolas Damafcene, PeripateticiébiéNie. Da- renommé, a eferit au de Tes hiftoires, quAdiatonusrnafeene. ^ ^cs 5ocjajls ( qui eft vn peuple Celtique, ceft à dire nôbré entre lesRoy des Gautois^auoiclix- cens hommes choiiis, qui en la langue du pais eltoietSociaps. appeliez Soliduns : & que fuççelliuement les autres dicelle contrée ont Soliduns. *,- i o C 1 r touiiours eu autant de compaignons, & participants en profits, plailirs,&,tandis que le Roy eltoit en piofperité : mais aulTi hl tom-boit en aduerfité,ils îoufFroient les dangiers, & trilles euenements dotleur Prince pouuoit eftre affligé. Leregnefadminiftroitparcuxcn cô-mu
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