. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 244 C. CEPEDE ET V. WILLEM. présent d'observations qui éclairent les origines et le modus physio- logique de cette symbiose. Cytopharynx. â La structure du cytopharynx est fort difficile à débrouiller ; la ligure 4 le représente tel qu'une heureuse orientation nous l'a fait comprendre, chez un / individu fixé et coloré à l'éosine. Il s'est présenté comme un vestibule contourné qui aboutit à un cul-de- sac interne dilaté, et qu'une crête ciliée (fig. ci-contre) divise lon- giludinalement en deux rampes.
. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 244 C. CEPEDE ET V. WILLEM. présent d'observations qui éclairent les origines et le modus physio- logique de cette symbiose. Cytopharynx. â La structure du cytopharynx est fort difficile à débrouiller ; la ligure 4 le représente tel qu'une heureuse orientation nous l'a fait comprendre, chez un / individu fixé et coloré à l'éosine. Il s'est présenté comme un vestibule contourné qui aboutit à un cul-de- sac interne dilaté, et qu'une crête ciliée (fig. ci-contre) divise lon- giludinalement en deux rampes. La crête, tordue en S, débute superficiellement derrière un piton arrondi, muni de cils (') ; elle s'en- fonce dans l'entonnoir on décrivant d'abord une spirale sinistrogyre (^) puis une courbe dextrogyre à plus grand rayon, pour aboutir près dune crête en X dont les deux branches circonscrivent un espace où s'observe l'ouverture buccale en forme de fonte. La crête en question porte des cils nombreux, disséminés sur toute sa région externe, mais jouant le rôle, parleur mouvement synchronique, d'une seule membrane vitratile. Ajoutons que la rampe buccale du vestibule pharyngien (^) s'élargit en une cavité ovoïde (A, figure 2 ci-contre) que surplombe la lèvre convexe du péristomo. La description qui précède didère notablement do l'explication très longue qu'a donnée Issel du même pharynx. La stf'ucture extra-. FiG. 1. â Diagramme de Irichodi- nopsti, vu perpendiculairement à la surface dudisque aboral. G, crête ciliée du cytopliarynx ; M, corjjs péripliaryngien : V, vacuole pulsalile ; U, cercle des pièces de l'anneau de soutien, vu par transparence. (^) Le piton apical paraît généralement porter une houppe massive de cils ; en réalité, il ijst entouré par une couronne de cils implantés autour de sa base, en une ligne spiraloïde qui continue l
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