L'illustration : journal universel . e : ilfrappe et il bénit, il perd etressuscite, comme le Jebovad Alhalie. La pièce finit par unmariaee, comme toutes les piè-ces. Elle est intéressante, bour-rée dévénements, abondanteen situations et en surprises,très - pathétique et Ires - amu-sante. Le succès a été vif, etil sera durable et fructueux. Quant au véritable ChodrucDuck«. vous ne verrez ici quela moitié de sa figure, et cestdéjà beaucoup. Cétait un Diogene mêlé dEpicure, hommede plaisir et même délégancesous les haillons; sa misère avait le linge net el les onglesbien taillés. Il aimait les p
L'illustration : journal universel . e : ilfrappe et il bénit, il perd etressuscite, comme le Jebovad Alhalie. La pièce finit par unmariaee, comme toutes les piè-ces. Elle est intéressante, bour-rée dévénements, abondanteen situations et en surprises,très - pathétique et Ires - amu-sante. Le succès a été vif, etil sera durable et fructueux. Quant au véritable ChodrucDuck«. vous ne verrez ici quela moitié de sa figure, et cestdéjà beaucoup. Cétait un Diogene mêlé dEpicure, hommede plaisir et même délégancesous les haillons; sa misère avait le linge net el les onglesbien taillés. Il aimait les petits enfants en père, et appré-ciait les liqueurs fines et les petits pâtés en na pas su la partie la plus romanesque de sa vie, qui,comme son frac délabré, passa par toutes les nuances delarc-en-ciel avant de montrer la corde. Sollicité décrireses mémoires. il répondait : - Cest laffaire de mon der-nier tailleur. » Du reste, il mourut en sage, cest-à-direoublié. POILITPE ;in do VaiontiDtf LILLUSTRATION, JOURNAL UNIVERSEL. Ascension aéroatallqae de Ull. Barrai et Bixio. Depuis deux mois, une magnifique expédition se prépa-rait sans bruit, mais avec des soins extrêmes. Un chimisteet un médecin, tous deux habiles dans leur art, pleins desavoir dintelliîence et de courage, avaient entrepris defaire ensemble iin voyage de découverte à trois lieues d pavs inconnu quils voulaient visiter, nous le voyons enlevantla tète- cest celte couche almospliénque qui sélaleà douze mille mètres au-dessus de nous, plage „ereine, viergeencore de tout contact humain, interdite a I aigle lui-même,qui nv trouverait pas assez dair pour son aile ni pour sespoumons habitée seulement par le froid et le silence, paystout à fait singulier où lon ne va quà grandpeme, et doù lon revient beaucoup , .. _ . ..r plus facilement quilne faudrait. Et quallaient-ilsfaire, direz-vous, danscette glacière pneu-matique? Laissons r
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