Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc etc etc. . us gràii^des parties de lunivers, le foleil , la lune, lesforêts 3 &c principalement les forêts de chêne*De-là5 on peut conje&urer quils regardoientDieu comme lame du monde, & quils lonten quelque forte divifc en une multitude def-pries. Ces opinions ont pu naître parmi eux, t comme parmi les Chaldéens. lUcroyoiem Les miniftresde la religion paroifTent feuls ne forcir de u / /•ri / cette vie queav0lr cru * a mctempiycoie. Les autres etoientpouraiicràu
Cours d'étude pour l'instruction du Prince de Parme : aujourd'hui l'infant D Ferdinand, duc de Parme, Plaisance, Guastalle, etc etc etc. . us gràii^des parties de lunivers, le foleil , la lune, lesforêts 3 &c principalement les forêts de chêne*De-là5 on peut conje&urer quils regardoientDieu comme lame du monde, & quils lonten quelque forte divifc en une multitude def-pries. Ces opinions ont pu naître parmi eux, t comme parmi les Chaldéens. lUcroyoiem Les miniftresde la religion paroifTent feuls ne forcir de u / /•ri / cette vie queav0lr cru * a mctempiycoie. Les autres etoientpouraiicràu-perfundés quils ne fortoient de cette vie, que ne meilleure. rr * *ii ^> n_ • pour palier a une meilleure. C eit pourquoiaucun peuple na moins craint la mort que lesGaulois Se les Germains. Ils fe félicitoiencdaller à des combats : ils envioient le fort deceux qui y reftoient, & ils en célébraient letrépas avec des réjouilTànces. Tels ont été en général les Germains & lesGaulois \ Se nous pouvons conjecturer quetous les Celtes ont eu à peu-près les mêmesopinions &ç les mêmes X H -C ! S N M S» £$ CHAPITRE IX, JDc^ caufes qui ont avancé ou retardéles arts ù les fciences dans leurs-progrès. JW0US avons remarque que les hommes ne --—_,reullilienc dans leurs études , qu autant que importe d«lexpérience les avertit de leurs niéprifes: & confidérer lescette obier vation uimt pour expliquer corn-avanoé les pro-ment ils créent Se perfectionnent promptement^ £umaioplufieurs arts, & comment il y a des fcien-& celle* quâces quils cultivent inutilement pendant dcsl|?s#oncwmftecles. Mais pourquoi en Egypte & en Àfie, les arts,après avoir fait des progrès , ont-ils-cette denfaire ? Pourquoi trani portés en Grèce , y fieurif-ient-ils plus quailleurs ? Pourquoi Tinduftriesarrête-t-elle dans un climat, porquoi dans unautre prend elle lefïor? Doués dabord de lefprit dinvention , lespeuples dorient en font tout-à-coup dépour-vus
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