. La Lecture. r!S emmener avec lui. Des artilleurs, les larmes aux yeux,valent vainement essayé de les démarrer, de les tirer avec deslingues ou àras. La pen-i était troplide, le ter-lin trop hu-lide. Il falit se résigner,îs abandon-3r à ;h ! la rageui assombrit;s visages, à3 moment ! Au - dessu>e nous, versi route, desisputes, desris, des jums, annon-ent un grand esarroi, unn c o m b r elent do ma^riel. Mil unlin ddMl, onui(t(ilestran iUH*S sous hl ^ ? ^ M,,,,|., i,... !...le. Les chefs mena-ent de fusiller les poltrons, les saisissent brusfjuement par le bras,lar la capote.


. La Lecture. r!S emmener avec lui. Des artilleurs, les larmes aux yeux,valent vainement essayé de les démarrer, de les tirer avec deslingues ou àras. La pen-i était troplide, le ter-lin trop hu-lide. Il falit se résigner,îs abandon-3r à ;h ! la rageui assombrit;s visages, à3 moment ! Au - dessu>e nous, versi route, desisputes, desris, des jums, annon-ent un grand esarroi, unn c o m b r elent do ma^riel. Mil unlin ddMl, onui(t(ilestran iUH*S sous hl ^ ? ^ M,,,,|., i,... !...le. Les chefs mena-ent de fusiller les poltrons, les saisissent brusfjuement par le bras,lar la capote. Ils essaient de les maintenii. de les faire battre en. 22 LA LKCTIKM ILLUSTKKb: retraite, sans pré(ii)itation, les adjurent de continuer le feu de tempsen temps. Tout est inutile! Les Prussiens, enliardis par ce désarroi,accourent précipitamment en colonnes épaisses, et lancent des hour-rahs formidables, tandis que leur artillerie décnme le reste delarmée française toujours en fuite. La terreur gagne les rangs avecî la rapidité dun courant élec-trique; les hommes retrouvent des forces pour fuir. Navrés duntel spectacle, nous sommes impuissants à arrêter ce flot humainsans raison, sans volonté, qui agit machinalement, par discipline, la dignité, la patrie sont oubliées. Les en(;ourage-ments deviennent inutiles. Sur toute la ligne, maintenant, cest lafuite honteuse, tête baissée, malgré les vociférations des chefscontre ces terrifiés : — Lâches! Face à lennemi! Vous nêtes donc plus Français! QueU|ues fuyards sont tués à bout portant. Mais la confusion,les bousculades précipitées continuent avec le


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