. Némésis médicale illustrée : recueil de satires . © delle; Je nai rien à laver, londe est claire en mon bain; Je suis né, jai grandi, je mourrai Carabin. Eh! quel COeUr de \ î 11141 ans ne sémeul e| ne vibreA laspect dune vie iusou<-ianle et fibre, 1« SPIIIK. 258 DOUZIEME SATIRE. Détude el de plaisir amalgame attrayant;Où, bercé sur un siège élastique et pliant,Jamais de durs soucis, de hideuses penséesNosèrent assombrir les actions passées;Où gai dun doux espoir, gai dun doux souvenir,LÅil plonge avec ardeur au riant avenir,Et de brillants décors, de couleurs fortunées


. Némésis médicale illustrée : recueil de satires . © delle; Je nai rien à laver, londe est claire en mon bain; Je suis né, jai grandi, je mourrai Carabin. Eh! quel COeUr de \ î 11141 ans ne sémeul e| ne vibreA laspect dune vie iusou<-ianle et fibre, 1« SPIIIK. 258 DOUZIEME SATIRE. Détude el de plaisir amalgame attrayant;Où, bercé sur un siège élastique et pliant,Jamais de durs soucis, de hideuses penséesNosèrent assombrir les actions passées;Où gai dun doux espoir, gai dun doux souvenir,LÅil plonge avec ardeur au riant avenir,Et de brillants décors, de couleurs fortunées,Y dessine à grands traits les joyeuses années. Mais laurore a sonné son uniforme souliers ferrés sillonnent le verglas,Du foulard lyonnais la bouche enveloppée,Par le vent froid du nord lhaleine entrecoupée,Quand la neige en flocons blanchit au loin les toits,Aux carrefours déserts, et soufflant dans leurs carabins joyeux aux cohortes presséesDun labeur matinal nourrissent leurs pensées. LES ETUDIANTS i:\ MEDECINE 259. Cest lheure où Dupuytren commençai! su leçon ;Où son expérience anime encor Sanson;Où Bouillaud et Lisfranc vont ouvrir leur séance;Lisfranc, dont n nous vit braver la médisance, 2<iO DOUZIEME SATIRE Jupin déboutonné, Mascarille tonnant,Trop longtemps il brandit un foudre mal sonnant;Aujourdhui guidant mieux sa pittoresque verve,Il rentre avec éclat au giron de Minerve ;Chastes sont ses pensers et pudique sa voix,La presse quil respecte ornera son pavois ;Elle souscrit un pacte aux formidables haines ;Ses mains ont résonné dans nos mains phocéennes,Et prompte à proclamer le ban de liberté,La Lancette elle-même a signé le traité. Tombent les intrigants et périsse Carthage ;Jeunes gens, de vos mains aidez notre courageQuune école punique, un classique IlionTrouve en chacun de vous Achille ou Scipion ;De son vieil


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