Oeuvres en vers et en prose . e craint; daltérer léclat qui me au moins que jachève déclore; Arrêtez, cher Berger, cruel! que faites-vous? Arrê un moment.,, quand vous maurercueillie, Quelques inftans après, vous me venez flétrie. Et Ç*) Cette Cantate que lAuteur donna, il y a nombre dan-,nées, tant dans le Mercure que dans lédition des PoëfiesIbus le nom de Mlle, rfc Malemis, a été inlerée depuis dansle Recueil de celles de lAbbé de Giicourt. Il na aucunepart à cette j-iiéce. Il en efl: de même de beaucoup dautres >que leurs .-Vuteurs pourvoient auili juAcmenc tiivend


Oeuvres en vers et en prose . e craint; daltérer léclat qui me au moins que jachève déclore; Arrêtez, cher Berger, cruel! que faites-vous? Arrê un moment.,, quand vous maurercueillie, Quelques inftans après, vous me venez flétrie. Et Ç*) Cette Cantate que lAuteur donna, il y a nombre dan-,nées, tant dans le Mercure que dans lédition des PoëfiesIbus le nom de Mlle, rfc Malemis, a été inlerée depuis dansle Recueil de celles de lAbbé de Giicourt. Il na aucunepart à cette j-iiéce. Il en efl: de même de beaucoup dautres >que leurs .-Vuteurs pourvoient auili juAcmenc tiivendii^uct. CANTATES, 395 Et vos vives ardeurs faifant place aux dégoû perdrai les attraits dont vous étiez jaloux. Ceft ainfi que la Rofe exprimoit fes allarmes ; Mais fes cris furent fupeiflas rDès quelle fut cueillie, elle neut plus de charmes, Et Corilas ne laima plus. Amans, fous les plus douces chaînesContraignez vos brulaiis defirs ;Le comble des tendres plaifirsM fouvent le comble des peines». R 6 sot- VOYAGE DE PARIS EN jî M. LE MARQUIS DE ROBIEN, Fréfiflent à Moitisr au Parlement de Bretagne,^ de V Académie Royale des Sciences ^BeU-les Littrss de Berlin,. P E R s o N N E au monde, Mdnfiéur, na jamais >plus pefté que moi coiitie les Intendances, Pré-feftures &-aucres dignités, faites, dit-on, pour lepeuple plus que pour lhomme; & chacun fait quecela devroii être. Le Rappcteur de votre procès,,ayant été nommé Intendant^ vous vous vîtes ren-voyé aux Kalendes Grecques, & moi par confé-quent, puifque le lignai de fa gloire fut celui denotre départ. Jallai la veille dire adieu au trèscher & très illuftre M. Titon du Tillet; la goûte«voit charge fes pieds de pefantes entraves. Je luitémoignai le chagrin que javois de le voirfoufftir;à quoi il me répondit dun air riant que la patienceétant le feul remède que la Médecine eût trouvé pour la goûte, il tâchoit de fe familiari-1er avec elle. Enfuite il


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