. Iconographie chrétienne; histoire de Dieu. lustrabatur Sed neque ita claritas talis erat quœ oculos conteniplantium inipediret, « sed quœ oculos gratissime saliaret. Et cum seniores sedentes dixerim , in ipso qua-» danimodo sedebant ; nam nil corporeum erat ibi, sed erant cuncta incorporea , licet« speciem corporum habentia, et ideo inefTabilia. Circa sedentes vero splendor, ab ipso?< procedens , similis arcui nubium lenebalur. » —Sur la rose orientale de la calliédrale(le Laon , les vingt-qualre vieillards sont assis sur un croissant ou arc-en-ciel de couleurlumineuse ou jaunâtre. (Voyez
. Iconographie chrétienne; histoire de Dieu. lustrabatur Sed neque ita claritas talis erat quœ oculos conteniplantium inipediret, « sed quœ oculos gratissime saliaret. Et cum seniores sedentes dixerim , in ipso qua-» danimodo sedebant ; nam nil corporeum erat ibi, sed erant cuncta incorporea , licet« speciem corporum habentia, et ideo inefTabilia. Circa sedentes vero splendor, ab ipso?< procedens , similis arcui nubium lenebalur. » —Sur la rose orientale de la calliédrale(le Laon , les vingt-qualre vieillards sont assis sur un croissant ou arc-en-ciel de couleurlumineuse ou jaunâtre. (Voyez les Act. SS. ord. S. Bened. VI* vol. Vie de saint Anschaire,mort en 864 ; cette vie a élé écrite par saint Remberl, disciple el successeur dAnschairc.) Bibliothèque royale , Spéculum humaïue sulcatioms, suppl. lat. lolii. A la bibliothèquede lArsenal , il existe un nis. semblable (Thèol. lat. It-i D. ) exécuté en Italie au \iv 312 INSTRUCTIONS. 80. ? JESCS-CIIRIST EN GBAKD ARCHEVEQDE Peinture grecque, xvi siiî Le Christ, coifTé de la couronne archiépiscopale et vêtudes différents ornements que portent les pontifes grecs, sap-pelle le grand archevêque, 0 ixiyLc, k.^yji^i\)c,. On le voit ainsiaux grandes coupoles des églises byzantines, et recevant dela main des anges, qui passent successivement devant lui,tout ce qui doit servir au sacrifice mystique de la messe. Cest siècle. miniatures, moins parfaites que celles du ms. de la Bibliothèque royale, sontremaïquables cependanl. On attribue ces peintures à Giotto lui-même ou à Tadé élève. Elles ne sont probablement ni de lun ni de lautre; mais lécole doù ellessont sorties était une des meilleures de lItalie. Ce dessin est pris sur lune des peintures à fresque si nombreuses en Grèce. * Sur le livre que tient le Christ en grand ]iontife, on lit : « Seigneur, Seigneur, ICONOGRAPHIE CHRÉTIENNE. 3J3 ce que les Grecs appellent la liturgie par excellence. La ca-thédrale de R
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