. Paléontologie végétale cryptogames cellulaires et cryptogames vasculaires . àétablir dune manière précise ; souvent en effet, desorganes provenant dun même individu ont été trouvésisolément et désignés arbitrairement sous plusieursappellations génériques. M. GrandEury a réparti le groupe qui nous occupedans trois sections principales 2. Annularià Sternberg. — Lune de celles-ci comprendles formes connues sous le nom àAnnularià (fig. it),abondantes dans les terrains houillers et permiens, etdont les axes principaux émettent dans leurs régionsnodales des ramifications situées dans un plan un


. Paléontologie végétale cryptogames cellulaires et cryptogames vasculaires . àétablir dune manière précise ; souvent en effet, desorganes provenant dun même individu ont été trouvésisolément et désignés arbitrairement sous plusieursappellations génériques. M. GrandEury a réparti le groupe qui nous occupedans trois sections principales 2. Annularià Sternberg. — Lune de celles-ci comprendles formes connues sous le nom àAnnularià (fig. it),abondantes dans les terrains houillers et permiens, etdont les axes principaux émettent dans leurs régionsnodales des ramifications situées dans un plan unique. i. Voir notamment, pour la structure des Asterocalamiles : B. Renault,Flore fossile dAutun (loc. cit.), p. 8i-85, et pi. Z|2, t\o ; — Solms-Lau-bach, Botanische Zeitung, 1897, p. 21g. 2. Géologie et Paléontologie du bassin houiller du Gard, p. 200. EQUISETALES PALE0Z01QUES V) Les feuilles des Annularia ont une forme plus ou moinslancéolée, et elles sont groupées en verticiljes clans desplans très obliques par rapport aux axes cpii les sup-. Fig. ii. — En haut : Annularia mucronata Sclienk. En bas : Antiu-laria stellata Schl. (=:A westphalica Stur), daprès un échantillon,de Werden (daprès Schenk et von Rôhl). ÔO CRYPTOGAMES VASCULAIRES portent, au lieu de rayonner autour de ces derniers,comme chez les autres Equisétales. Dans chaque verticille, elles ont une taille variable,les plus longues étant situées latéralement. Chez Schloth., sp., elles sont au nombre de seize àtrente-deux à chaque articulation, et elles constituentpar la coalescence de leurs extrémités inférieures unesorte de gaine analogue à celles que lon connaît chezles Equisetum i. Arthropitys Goeppert. — La deuxième subdivisionproposée par M. GrandEury est celle des Arthropitysou Calamités proprement dits, dont les régionsfeuillées sont connues sous le nom dAsterophyllitesBrgnt. (A. equisetiformis Schloth., sp ). Les tiges desplantes en ques


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