Le paysan parvenu; ou, Les mémoires de M *** . A ROUEN, Chez Pierre Machuel, nieCinterie , Hôtel S. Wandrille. M. D C C. L X X X î LE P A YS A PARVENU, OU LES MÉMOIRES DEM, **\ ?? iimu. ii«jiiiiuvi»t-»ii»»j^i»»—JJMII^H»^ SEPTIEME PARTIE. m^m 0 U s étions à peine montés en ii XT va carroiïe, que je crus devoir hire parcâ^C^^^J ^ moniieur ic Lorate de JJorian de•^^^^^^•---^\ 1 inquiétude que ) avoîs iur i état pre-fent de la fanté de allons dans une maifon , lui dis-je ,où je crains quil ne foit arrivé !,quel accident appréhen
Le paysan parvenu; ou, Les mémoires de M *** . A ROUEN, Chez Pierre Machuel, nieCinterie , Hôtel S. Wandrille. M. D C C. L X X X î LE P A YS A PARVENU, OU LES MÉMOIRES DEM, **\ ?? iimu. ii«jiiiiuvi»t-»ii»»j^i»»—JJMII^H»^ SEPTIEME PARTIE. m^m 0 U s étions à peine montés en ii XT va carroiïe, que je crus devoir hire parcâ^C^^^J ^ moniieur ic Lorate de JJorian de•^^^^^^•---^\ 1 inquiétude que ) avoîs iur i état pre-fent de la fanté de allons dans une maifon , lui dis-je ,où je crains quil ne foit arrivé !,quel accident appréhendez-vous ? répondit-il vivement. Je nen fais rien , continuai-je; maisen quittant monfieur de Fécour , je me fuisrendu ce matin chez M. de Dorville ; je ny ai A a 4 LePaysatt trouvé quune femme , qui ma alTuré que létat<Iu malade ne luî permettoit point de recevoirma vifitc. ïl eft vrai q^ie je nen augurai pas bien , me^it le Comte , .quand je le quittai : je ferois ce-pendant fâché que fon mal fût empiré. Je leçonnois peu , mais jai obligation à fon époufe;d;iilleurs , ajouta-t-il comme par réfl
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