Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . \ ti^cUiLiuii ilaus tlfi jjieiics. c< H \ a des Intliens brabos dans le Uio Cacliorro, me dit liavmond dosSantos. — Tant mieux, nous aimons beaucoup rencontrer des Indiens brabos. — Alil si vous emmeniez un de nous avec vous, les Cacliuaiias ne vousficelleraient pas; en les voyant nous crierions bien vite : « Ouimi, maria,moliire ». VOYAGE AU 21 — Mais je peux leur otiVir moi-même des haches, des couteaux et desperles. » Raymond me regarde en-dessous et nest pas éloigné de croire que je suisun peu sorcier. Et le peu de mots q
Voyage au Trombetas, 7 août 1899-25 novembre 1899 . . \ ti^cUiLiuii ilaus tlfi jjieiics. c< H \ a des Intliens brabos dans le Uio Cacliorro, me dit liavmond dosSantos. — Tant mieux, nous aimons beaucoup rencontrer des Indiens brabos. — Alil si vous emmeniez un de nous avec vous, les Cacliuaiias ne vousficelleraient pas; en les voyant nous crierions bien vite : « Ouimi, maria,moliire ». VOYAGE AU 21 — Mais je peux leur otiVir moi-même des haches, des couteaux et desperles. » Raymond me regarde en-dessous et nest pas éloigné de croire que je suisun peu sorcier. Et le peu de mots quil ma servis, sans doute tout son répertoire, mepermet de xoir que ces (laehuanas sont de famille «HWKfMWWM îTlini lirMiliiriii ?iiMiiiriiriii Slratillcation. Adào et Esvdio ont profité de ma conversation avec Raymoml. Ils sontallés près de mes matelots essayer de les décourager en leur faisant unepeinture effrovahle du Haut Trombetas et tle ce quils vont avoir à y que jai avec moi de braves gens. Jentends la fin de leurconversation. <i i\Iais, vous V avez l)icn été, vous, dans les hauts! — Oui, mais moi je suis Mucambeiro. ±2 VOYAGE AU TROMBETAS. — Et vous croyez que nous, nous ne ferons pas oe que vous avez fait? — Non, vous autres, vous ne savez |)as travailler dans leau. ? Je vois déjà des yeux briller, vieil Adâo, vous jouez un mau^ais jeu.« Oh! vieux nègre! nous ne sa\ons pas travailler? Nous allons vousenseigner ce que valent les Mineiros. — Mais, parent, ne vous fâchez pas avec moi. — Nous, vos parents! mais nous ne sommes pas paicnts de nèi^res. ))Cest toujours la même histoire. Helianzin a])|)elc m sale nègre »
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