. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. Abricotier. JOU 73 rose en dessous et muni de deux oreillettes de dimensions variables. â Fleurs : tardives, grandes ou moyennes, grêles et blanches; leur calice, rouge-brique, est vert à son point d'attache. Fertilité. - * boudante. Culture. â Quand on le destine au plein-vent, les formes buisson et demi-tige >ont celles qui lui conviennent le mieux ; cependant il peut aussi s'accommoder \ 3 la haute-tige et mê


. Dictionnaire de pomologie, contenant l'histoire, la description, la figure des fruits anciens et des fruits modernes les plus g©n©ralement connus et cultiv©s. Fruit-culture. Abricotier. JOU 73 rose en dessous et muni de deux oreillettes de dimensions variables. â Fleurs : tardives, grandes ou moyennes, grêles et blanches; leur calice, rouge-brique, est vert à son point d'attache. Fertilité. - * boudante. Culture. â Quand on le destine au plein-vent, les formes buisson et demi-tige >ont celles qui lui conviennent le mieux ; cependant il peut aussi s'accommoder \ 3 la haute-tige et même de l'espalier. Dr .criptioii dii fruit. â Grosseur : volumineuse. â Forme : ovoïde sensi- ' ' xiieut arrondie, déprimée souvent à la base, à joues peu convexes, surtout près du sommet, à sillon étroit et de faible Abricot de Jouy. profondeur.â CavzVecawc^a^ée. â Point pistillaire : apparent et placé dans une très-légère dépression. â Peau: bien duveteuse, jaune pâle, mais abon- damment ponctuée, et même quelque peu nuancée, de carmin sur la partie qui regarde le soleil. â Chair : jaune blanchâtre, ferme, non adhérente au noyau. â Eau : suffisante, acidulée, sans grand parfum et rarement assez sucrée. â Noyau : moyen, ovoïde-allongé, très- plat, ayant l'arête dorsale large et cou- pante. â Amande : demi-douce. Maturité. â Premiers jours de juillet. Qualité. â Deuxième. Historifiue. â C'est un gain français dont l'introduction chez les pépiniéristes remonte seulement à 1863. Voici dans quels termes M. Thomas, arboriculteur, le signalait à l'attention publique en février 1870 : « Ottenue par M. Gérardin, propriétaire à Jouy-aux-Arches, village situé à quelques kilomètres de Metz, cette précieuse (?) variété a été livrée au commerce en 1863, par l'éta- blissement Simon-Louis frères [de Metz]. Le pied-mère


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