. La prévention nationale, : action adaptée à la scène; avec deux variantes, ét les faits qui lui servent de base ... uffe-filoso-fie a-perfuadé aux Hommes, que leurs En-fans leur-étaient-abrciument-étrangers; quilsné revivaient pas en-eux : Fatale Se dange-reuse do6lrine. les Enfans font le prolonge-ment de Fexiftance des Pères ; ils les-in-mortalisent, par le developement de ce pre-mier-point intelleéluel Se matériel quils tien-nent deux. Le Père Se le Fils ne font fisi-quement quun devenu deu-x ; au moral Seau politiq, le Père Se le Fils ne Mais les Egoïltes ont-
. La prévention nationale, : action adaptée à la scène; avec deux variantes, ét les faits qui lui servent de base ... uffe-filoso-fie a-perfuadé aux Hommes, que leurs En-fans leur-étaient-abrciument-étrangers; quilsné revivaient pas en-eux : Fatale Se dange-reuse do6lrine. les Enfans font le prolonge-ment de Fexiftance des Pères ; ils les-in-mortalisent, par le developement de ce pre-mier-point intelleéluel Se matériel quils tien-nent deux. Le Père Se le Fils ne font fisi-quement quun devenu deu-x ; au moral Seau politiq, le Père Se le Fils ne Mais les Egoïltes ont--»tâché détouiîer ces idées naturelles , pourfe-livrer a une den:ru6live Se barbare Perfona-lité . dont les rapides-effets opéreront un-jourune finefîe revolucion en-Europe. (yqyeila CCXiV.^^^ NouyelU des Contemporaines» L z -14 La Prévention-nationale, j Sujet de lEftamjpedes Deux-Anglais, M.^ De-Montmiîel montrant à fîr Edwige-Farfce ^îa feène brodée de fa main, du Çonite-de-Monclarjmant (îï Henri-Wolfey î «Regarde !.., Voila ma feule conrohcion». Les Deucc -^ri^ gsatasBmuuJkMiiAUM V, [B4] Les Deux-Anglaîs. Avis de m.^^e Dulis-mère a fon Fils* .V ^- V oiis aîez-partir pouf la Capitale, motscbèr-Fils : vous alez-y-voir des Hommes dëîtous les Peuples du monde. Souvenez-vous ^que parmi eux , il en-eft un que votre Pèredetefte, qui a des torts réels envers fa Fa^mille, & qui nen-a-pas de moindres enversla mienne : Je defcens par les Fammes dunehrdinche des Mon te lar y aOes-connus en-France8c dans toute lEurope. Vous alez voir^ patle récit que je vais-vous-faire , fi lo^-erimedes Anglais à mon égard négale-pas ceux decette Nation , envers la Famille-paternelléô Il neft-pas-furprenânt que les Habîtansde deux-Pays auffi-voisins que la France SelAngleterre, dont lUn a-plûs-davantagesnaturels ^ lautre plûs-de-moyéns-de-com-merce , faient-jalous lUn de lAutre. LesFrançais ont-fùbjugué lAngleterre avec Guil-laume
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