. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 190 MAURICE GAULLERY ET FELIX MESNIL. Exceptionnellement, les pointes terminales du talon font saillie sur les côtés de la tige operculaire [Sp. cornu-arietis, Sp. Beneti). [voir les figures de Marion (9 et lO)]. Quand l'incubation a lieu dans la tige operculaire, les parties calcaires présentent des modifications Fig. A Fig. B Fig. G Fig. D irorhis borealis Daud. Profil Face convexe Sp. pusillus St-J X 62 Sp. Bernardi n. sp. X 62 X 185 Fig. 1. â Figures demi-schématiques d'extrémités de tiges oper


. Bulletin biologique de la France et de la Belgique. Biology; Natural history. 190 MAURICE GAULLERY ET FELIX MESNIL. Exceptionnellement, les pointes terminales du talon font saillie sur les côtés de la tige operculaire [Sp. cornu-arietis, Sp. Beneti). [voir les figures de Marion (9 et lO)]. Quand l'incubation a lieu dans la tige operculaire, les parties calcaires présentent des modifications Fig. A Fig. B Fig. G Fig. D irorhis borealis Daud. Profil Face convexe Sp. pusillus St-J X 62 Sp. Bernardi n. sp. X 62 X 185 Fig. 1. â Figures demi-schématiques d'extrémités de tiges operculaires. Type 1. â La plaque terminale est convexe au lieu d'être concave et le talon la continue, sur une partie de la péripliérie de la tige operculifère, sous forme d'une surface cylindrique (voir fig. 25 « et 26, PL x) ; ces surfaces calcaires et la paroi de la tige limitent une grande cavité incubatrice. Type 2. â Le talon se réduit plus ou moins et il se développe un sac incubateur s, de nouvelle formation, constitué par du calcaire poreux (voir fig. B. et C). Type 3 (voir fig. D.). â A la base de l'élargissement du rayon operculaire, il se forme une plaque basilaire B, calcaire, limitant inférieurement la cavité incubatrice, et reliée à la plaque terminale généralement plane, par une surface cylindrique L, le plus souvent calcaire. Ces parties complémentaires B etL n'apparaissent qu'assez tard dans le développement. En général, le talon 6 se réduit progres- sivement, et disparaît même quelquefois ; quand il existe, il est creux. Chez plusieurs espèces, on trouve une série d'opercules, composés des parties T et ^ emboîtés les uns dans les autres. On ne peut les interpréter que par un développement successif et un renouvellement. Please note that these images are extracted from scanned page images that may have been digitally enhanced for readability - coloration and ap


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