. Bulletin de la Société royale de botanique de Belgique. Société royale de botanique de Belgique; Botany. 168 (les cotylédons élroils et des cotylédons élargis (Plantago, fîg. 2). Sans parler des Phaseolus où la différence est peu marquée(0, il n'est pas très rare que dans un même genre, il y ait des espèces à cotylédons nettement épigés et d'autres à cotylédons hypogés. Le Rliamnus Frangula a des cotylédons épigés; le R. calhartica les a hypogés. D'après M. Winkler (23), le Mercurialis perennis a des cotylédons hypogés, tandis que ceux du M. annua sont épigés. Ma
. Bulletin de la Société royale de botanique de Belgique. Société royale de botanique de Belgique; Botany. 168 (les cotylédons élroils et des cotylédons élargis (Plantago, fîg. 2). Sans parler des Phaseolus où la différence est peu marquée(0, il n'est pas très rare que dans un même genre, il y ait des espèces à cotylédons nettement épigés et d'autres à cotylédons hypogés. Le Rliamnus Frangula a des cotylédons épigés; le R. calhartica les a hypogés. D'après M. Winkler (23), le Mercurialis perennis a des cotylédons hypogés, tandis que ceux du M. annua sont épigés. Mais l'exemple le plus curieux est fourni par le genre Anémone^ réétudié dans ces derniers temps par M. de Janc- zewski (14) et par M. Hildebrand (11). A côté de certaines espèces qui ont des cotylédons épigés, longuement ou briève- ment pétioles, il en est d'autres dont les Fip. 16. â cuscuta graiucs mûres n'ont pas encore la moindre Epiliauyn. â A. Début de la ger- iracc dc cotvlédons : ceux-ci se forment mination ; rem- â¢' core^entrà feme^nt '^''^ dc la germination et tantôt ils restent B"pî!ntuie*èxéê^ pclits ct hypogés, tantôt ils acquièrent un tant déjà des cir- , »,⢠i i ⢠, . , cumnutationB;elle loug pctiolc Ct deviennent epiges. possèdeinférieure- i r» i ' ment une radicule Daus uu autrc ffcnrc dc Kenonculacees, rudimentaire.âC. piantuie plus âgée, Delphinium, les cotylédons sont aussi très attachée a une tisre ' ' â¢' ?Jb"eTVa^pa*rti6 variablcs. La plupart des espèces, D. Sta- cuta^soJtflétries' physagtia, par exemple (fig. 17), ont les cotylédons développés à la façon ordi- naire. Le D. nndicaule (fig. 18) a des cotylédons connés. (1) Tous les Phaseolus ont les cotylédons non-assimilateurs; mais tandis que chez le P. vutgaris, l'hypocotyle s'allonge de faço
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