[Oeuvres] . semble encor exhalerLes sons du luth divin de Virgile et dHorace, Mais sur ces bords charmans caressés par les mers,Sur ces tombeaux romains que la mousse a couverts, Comme aux lieux où Venise expire,Lesclavage hideux sentoure de dé murmure éternel des eaux et du zéphireIl mêle, en gémissant, le bruit sourd de ses son haleine impure aux parfums quon quelque doux climat quon se veuille exiler,On trouve donc partout des tyrans a maudire, Et des peuples à consoler? Filles de lantique élé navez-vous ses plaintives douceurs,Ses élans inspirés, sa brûl


[Oeuvres] . semble encor exhalerLes sons du luth divin de Virgile et dHorace, Mais sur ces bords charmans caressés par les mers,Sur ces tombeaux romains que la mousse a couverts, Comme aux lieux où Venise expire,Lesclavage hideux sentoure de dé murmure éternel des eaux et du zéphireIl mêle, en gémissant, le bruit sourd de ses son haleine impure aux parfums quon quelque doux climat quon se veuille exiler,On trouve donc partout des tyrans a maudire, Et des peuples à consoler? Filles de lantique élé navez-vous ses plaintives douceurs,Ses élans inspirés, sa brûlante énergie!... Mais avant que des oppresseursÉtouffent sous les lois la vérité leur pouvez du moins prédire leur défaite :Eh bien! ils tomberont, ces amans de la nuit. ÉPILOGUE. 185 La force comprimée est celle qui détruit;Cest quand il est captif dans un nuage sombre, Que le tonnerre éclate et luit ;Et la chute est facile à qui marche dans lombre. UNE SEMAINE DE PARIS,. 1£JM31 g-KMEJ^ICI^JS ÏB3® IPA^Jtg ^S^,4(/^»^,i^M^<, ,^^^:,r,:, UNE SEMAINE DE PARIS AUX FRANÇAIS. Debout, mânes sacrés de mes concitoyens !Venez; inspirez-les, ces vers où je vous , morts immortels, héroïques soutiens De la liberté triomphante!Brûlant, désordonné, sans frein dans son un peuple en courroux quun même cri soulève. Que cet hymne vers vous sélève De votre sang qui fume encor! Quels sont donc les malheurs que ce journousapporte?-Ceux que nous présageaient ses ministres et ! malgré ses sermens ! -Il les rompt ciel les a reç le vent les les élus du peuple?...-Il les a cassés tous. 190 UNE SEMAINE -Les lois quil doit défendre?-Esclaves comme la pensée?-Aux la liberté? était notre crime?-En vain nous le mettre en interdit la patrie opprimée,Son droit?-Cest le pouvoir,-Saraison?-Unearmé nôtre est un peuple : marchons.


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