Blançay . i 7 8 8. Uni vers/Î^J PQ S,: AU LIEU DÉPITREDÉDICAT* qui accompagne letitre est -i cachet t dont voici le:: Dans le quartier , ma frêle barquetourmentée par les y et pour légende : Sic o!im( cest ainsi que jai été ). Dans le reste du champ de .:e mienne barque, sur mubien calme, est forteme : j à un obélisque portant les armes de [EUR DE LA VILLEURNOY. Lorsque je dessinai cetis tout à mon objet ; ( 4) sattt dans le moment ou je me trou-vais La durée entière de mon existence 9 je navais mis -pour secondelégende 3 que : Sic nunc (cest ainsique je suis a présen


Blançay . i 7 8 8. Uni vers/Î^J PQ S,: AU LIEU DÉPITREDÉDICAT* qui accompagne letitre est -i cachet t dont voici le:: Dans le quartier , ma frêle barquetourmentée par les y et pour légende : Sic o!im( cest ainsi que jai été ). Dans le reste du champ de .:e mienne barque, sur mubien calme, est forteme : j à un obélisque portant les armes de [EUR DE LA VILLEURNOY. Lorsque je dessinai cetis tout à mon objet ; ( 4) sattt dans le moment ou je me trou-vais La durée entière de mon existence 9 je navais mis -pour secondelégende 3 que : Sic nunc (cest ainsique je suis a présent). Ce futMonsieur de la VilleurnoYquiajouta le : Sic semper ( et que je «SERAI TOUJOURS ). Cest par de semblables traits quece respectable protecteur marque tousles jours de ma vie. O mon bien-aimé Patron ! quelque soit sa durée , jamais on ne verra saffaiblir les sentimens de tendresse , de vénération et de dévouement absolu ? • dont vous avei rempli le cœur de Votre fidèleGORJY,. B L A N Ç A Y. CHAPITRE différence de ceux-ci A CEUX-LA? Je venais datteindre ma quinzièmeannée , lorsque les Supérieurs duCollège de * * * , où jétais depuisma plus tendre enfance , me firentappel!er dans leur salle dassemblé jarrivai, je trouvai sur tousles visages cette expression que fei-gnent tes gens indifrérens, quand ils A ont à annoncer une nouvelle à laquelleils veulent avoir lair de prendrepart. En effet, cétait pour me direque lon ne pouvait me garder pluslong-tems. Une place importante ayant appellemon père dans lInde , lorsque jétaisencore en bas âge, il mavait mis dansce Collège, où ma pension avait tou-jours été payée davance. La suppres-sion de sa place, causée par des chan-gemens de principes dans lAdminis-tration ; la mort de ma mère , arrivéepresquen même tems ; dautres cha-grins encore lui avaient rendu odieuxle séjour de lInde. Il avait vendutoutes ses possessions , sétait embar-qué pour revenir en F


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