. Congrès national du Tiers-ordre franciscain à Montréal à l'occasion du 7e centenaire de la fondation du Tiers-ordre. vent dailleurs se glisser avecconfiance près de lombre protectrice du poète de âme bienheureuse, magnifique et chantante de saint Françoisapporte souventefois, à qui linvoque, le secours, la lumière, etcet élan brûlant de tout lêtre si nécessaire à quiconque veutservir efficacement ses semblables. Lapostolat de la femme et le Tiers-Ordre, cest-à-dire, lâmedévouée et agissante de la femme, puisant ses profonds motifsdaction à la source vi\e du troisième Ordre de saint
. Congrès national du Tiers-ordre franciscain à Montréal à l'occasion du 7e centenaire de la fondation du Tiers-ordre. vent dailleurs se glisser avecconfiance près de lombre protectrice du poète de âme bienheureuse, magnifique et chantante de saint Françoisapporte souventefois, à qui linvoque, le secours, la lumière, etcet élan brûlant de tout lêtre si nécessaire à quiconque veutservir efficacement ses semblables. Lapostolat de la femme et le Tiers-Ordre, cest-à-dire, lâmedévouée et agissante de la femme, puisant ses profonds motifsdaction à la source vi\e du troisième Ordre de saint François,voilà lharmonieux et grave sujet que nous abordons avec autantde respect que dinvolontaire effroi. Saurons-nous, vraiment, en faire rayonner la beauté éternelle,infinie, comme le grand amour qui en est la cause déterminante :celui de Jésus Crucifié, auquel lon joint aussitôt, — daprès lecommandement suprême et divin — lamour du prochain ? Mais,et nous nous rassurons, limage de saint François sévoque dèsque lon tente de définir la noblesse dâme de lapôtre §aint Jfrançoîflî,^aînt TLonië et ^aintc Cliôabett). — 273 — 11 en demeure lincarnation radieuse, incomparable, définitive,nul ne layant dépassé. Et tous nous nous inclinons devant cetteimage, en joignant avec espoir les mains. Pourrons-nous ensuitefaire saisir le caractère essentiellement pratique de lapastolatfranciscain, à base surtout dexemples donnés, de préceptes oude conseils que lon simpose à soi-même, avant de les imposerà autrui, de vie chrétienne vécue sous tous ses aspects, dansla famille et dans la société ? Nous sera-t-il donné enfin, dans une courte conclusion, depersuader nos auditeurs de la convenance, comme de limpor-tance dune action féminine exercée par des âmes entraînées àlécole de saint François ? Cette école faite damour pacifiant,de renoncement, deffacement personnel, devient, par le faitmême, secourable
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