Revue pittoresque : musée littéraire . evenue; je voulus me faire tuer, la mort me re-poussa; je parcourus toute iLurope; le spectreme poursuivait partout. Enfin, un jour, éé defatigue et de désespoir, je tombai au pied dunecroix, dans un grand chemin; je crus que jymourrais ; je priai el la consolation marriva denhaut. Depuis ce jour je priai encore et jai trouvédes forces même en face de cette sainte vicliiuodevant laquelle je magenouille. En prononçantces mots il ouvrit le rideau du portrait. Voilà cefjuil faut faire, madame, si vous ne consenlez pasà devenir insensée ou criminelle. Je


Revue pittoresque : musée littéraire . evenue; je voulus me faire tuer, la mort me re-poussa; je parcourus toute iLurope; le spectreme poursuivait partout. Enfin, un jour, éé defatigue et de désespoir, je tombai au pied dunecroix, dans un grand chemin; je crus que jymourrais ; je priai el la consolation marriva denhaut. Depuis ce jour je priai encore et jai trouvédes forces même en face de cette sainte vicliiuodevant laquelle je magenouille. En prononçantces mots il ouvrit le rideau du portrait. Voilà cefjuil faut faire, madame, si vous ne consenlez pasà devenir insensée ou criminelle. Je vous le répète,la miséricorde de Dieu est infinie. La margrave ne semblait pas lentendre ; elleregardait le tableau et disait tout bas : — Cest vrai, elle sappelait aussi Willielmine!En ce moment ses yeux se portèrent du côté de la forêt : elle aperçut le comte, qui se cachait der-rière les arbres. — 0 mon Dieu! il ma suivie; maimerait-il en-core? La suite au j>roi:haitt numéro. Rl^ VCE POLITIQUE ET Journaux socialistes.


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